USA-ISRAEL-Palestine-IRAN : RÉTRO "MIRAGE D'ESPOIR OBAMATRACIEN

Après le G8, Obama s'est rendu en Allemagne pour la 1^ère fois en tant que Président américain réélu en deuxième mandat. Un mandat qui a poussé les observateurs, l'Afrique entière, tous les hommes de la rue qui avaient salué l'élection phénoménal d'un candidat noir, un. dont l'on espérait être, un nouvel architecte d´un nouveau monde qui va renaître des cendres de celui que ces prédécesseurs ont précipité dans des flammes de guerre.

Obama a-t-i répondu à l´attente du monde?

Obama est-il le véritable artisan d´un prix Nobel reçu sans exploit, bien avant de passer aux actes, sans avoir réaliser la paix que l´on attendait? Il a fait des promesses, une liste dont il s'est librement fixer  le devoir de réaliser avant la fin de son 1er mandat. 

Obama a-t-il réussit à renverser la vapeur, a-t-il eu les moyens de transformer la médiocrité de la gouvernance trouvée?

La réponse est:"Non"; un brillant échec qui se résume en un "non!"  sans circonstances atténuantes!" Voir un"non" retentissant donc, un véritable échec qui démontre que la providence, le miracle n'était pas au rendez vous. Des espoirs allumés et vite éteins à la suite d'un mandat pas du tout convainquant au bilan mitigé en ce qui concerne les questions internationales. Est-ce une incapacité due a l'incompétence? 

Là. où le bas blesse est que une fois investit des pouvoirs, il devient tout de suite responsable de l´atmosphère qui prévaut dans le monde entier, rôle que l´Amérique gigantesque a toujours endossé dès par le fait qu'elle a toujours joué les arbitres de la planète et d´ailleurs, à ce propos, Obama s´était exprimé un jour, en forme de plainte, se demandant :

"Pourquoi est-ce que l'Amérique devait être la seule puissance qui devait joué le rôle de sentinelle?

" Responsable de l' atmosphère empoisonnée dont il soulèvera la grande responsabilité sur ces frêles épaules. mais alors, pourquoi lui?"

tout simplement parce qu'il avait utilisé cette formule fétichiste de :"Yes we Can!" qui a fait renaître des espoirs démesurés qu´'il ne saura jamais assouvir.

En dehors des promesses faites pendant la période propagandiste des élections, son image lors de son entrée en mandat des 1ères 4 années, était encore vierge, naïve non entachée de compromissions puis, vint l´heure du bilan à l´issue de celle ci, beaucoup a été fait mais pas assez en comparaison des muscles et de la matière grise dont il se targait de posséder.

Ensuite, comme un malheur ne vient jamais seule, il y a eu succession de scandales dans les méthodes qu'il utilisera pour venir à bout d´un terrorisme difficile à endiguer du coup, la formule de chasse au terrorisme va prendre des allures dramatiques dans la stratégie de la mise à mort par drones interposés qui ne tueront pas seulement les fauteurs de troubles mais aussi feront des victimes tout au tour des périmètres en cible et bien d´autres révélations encore plus embarrassantes  de ce qu'il qualifiera de trahison après le déballage de  Wiki -leaks.

Il s´en suivra l´affaire de l'espionnage en complicité avec Google et Facebook, des gouttes en trop qui vont faire déborder le vase et par la même, parfaire la descente dans l´enfer de l´impopularité de l´ex homme de la providence.

Il y aura dans son positionnement politique, pirouettes, tout comme une indécision qui le poussera à faire des grands virages sur des questions cruciales, telle celle ayant trait aux relations américano-israéliennes. Nous pensions que le semblant de  fermeté affiché vis à vis du 1er ministre israélien et de sa politique allait changé la donne et permettre une amélioration de la cohabitation. Non il n'en sera rien car peu avant sa tournée, Barack Obama va de nouveau décevoir avec le rapprochement spectaculaire qu'il fera en se rapprochant de trop prêt, comme si le passé entre, son passé avec Netanyahu n´avait pas connu un froid intense. Barack Obama va faire demi tour sur sa propre neutralité vis à vis du conflit Israelo-palestinien pour choisir un camp, celui d'Israël qu'il visitera en 1er avant d´aller se faire huer en Palestine.

Était-ce nécessaire de pivoter sur un aussi grand angle car, juste après sa visite, la presse américaine dévoilera la construction stratégique d´un complexe d´armement qu´Israel voulait taire. Fâchée, Israele va de nouveau couvrir le No 1 Américain de qualificatifs de traîtrise et d´autres qui vont le remettre en isolement et en perte de considération vis à vis de l´état hébreux. il y a entre les deux, la Syrie et de l'autre coté, l'Iran d'ahmadinejad en approche de fin de mandat.

L'Iran ira aux urnes et c´est avec surprise que le vainqueur des élections sera celui là même qui n´avait pas les faveurs des pronostiques. Le nouvel élu dans cette République devenue islamique depuis le chamboulement Chiite qui boutera dehors le Shah Reza Pahlavi, le retour Khomeini, 1979 sonnera le glas l´ère des Khomeini, en effet l'Ayatola Komeini de retour de son exile en France va injecter une une autre forme de gouvernement.

Désormais, la politique se fera par Ayatollah interposé, c´est le guide suprême qui occupera un fauteuil à la fois présidentiel, de la lignée direct du prophète, de l'Ayathollah Khomeini, l'architecte du départ en exile de Reza Palhavi, une opération qui s´effectuera depuis la France oú il se trouvait, plus précisément à Neufle-le château d´oú partiront des petits livres pleine des textes philosophiques sur les enseignement islamiques, des appels à la révolte contre la royauté. Il va donc falloir remettre les aiguilles à partir de l'an 1979 pour recommencer à compter et redistribuer le pouvoir d'après une hiérarchie religieuse. Depuis 1979, date butoir, le pouvoir a changé de camp, il se trouve depuis, entre des mains religieuses d´un guide suprême portant le titre de Ayatollah et kamanei qui détient le véritable pouvoir...

Obama entre dans son deuxième mandat par une porte qui semble petite, étroite, mandat de déshabillage qui risque de lui être très dure et d'officialiser des qualificatifs négatifs quant en ce qui concerne sa gouvernance et politique extérieure. Ainsi donc, il dira vouloir observer dans un premier temps comment l'actuel gouvernement va évoluer.

Mais qu'est-ce qui est à la base de son cuisant échec?

Ballotté entre idéalisme et réalisme Barack Obama n'arrive pas à maîtriser des situations préventives. Nous allons un fois de plus assisté à une aggravation de la situation qui prévaut entre Palestiniens et l'Allemagne ni les États Unis, aucun état n'a eu la sagesse de prévenir la guerre de telle sorte que le coté partisan des deux états qui soutiennent ouvertement Israél a eu un effet de tissonnement et d'augmentation de la situation de guerre. Cette couverture de deux états et d'autres a encouragé Israel a utilisé comme d'habitude les moyens forts d'extermination. Ce comportement , disons le tout de suite a fait basculer sensiblement la cote d'Israel vers le rouge qui approcherait de celle généralement attribuée aux terroristes.

Rappelons qu'en Iran, une carte de visite politique se doit d'etre présentée, il s'agit d'un homme Ouvert au dialogue et qui serait prêt à s'asseoir à la table de négociations, l' actuel élu, Hassan Rohani est plus modéré et jouit d´une grande popularité au près de jeunes. Une de ces priorités serait de faire de telle sorte que l'étreinte d'embargos étranglant dans lesquelles se trouve l'Iran, Baisse ou qu'il disparaisse tout simplement.

En attendant, la réaction d'Israël par la bouche de son 1er ne s´est pas fait attendre, Israél dira que rien n´a changé du fait que c'est à  l'Ayatola Kamenei que revient le dernier mot!

Toute fois, Hassan Rohani, qui se veut homme de Dieu mais aussi du peuple et du dialogue sur des questions brûlantes, celles ayant traits au nucléaire par exemple; en comparaison avec son prédécesseur, Hassan Rohani dit-on, est plus souple, connaît le guide suprême et sait comment l'emmener à plus de compréhension.

               TIRÉ DU VOLUME VI     "BARACK OBAMA

"FUTUROSCOPIE DE POLITIQUE INTÉRNATIONALE 2010-2018"

                              De Kaisa Ilunga

                                BLOGOFORT

VIDEOS – BARACK OBAMA. Allemagne: le président américain humilié porte Brandebourg à Berlin

Barack Obama et Angela Merkel, Porte Brandebourg, Berlin le 19-06-2013

Que les années passent vite !

En 2008, celui qui allait devenir la plus grosse imposture et enflure du 21e siècle, surfait sur la vague de la nouveauté, tout le monde croyant qu’avec lui, le monde allait être plus sûr, dépourvu de guerre. Il était simplement candidat à la Maison blanche et avait fait déplacer…200 000 berlinois. Heureusement, les gens ne sont pas dupes, et ne se sont plus laissés embarquer par la propagande médiatique entourant le prix Nobel de la guerre. Au temps pour moi, de la paix…Il n’était que 4 500 personnes seulement.

Barricadé derrière des vitres blindées et transpirant à grosses gouttes -le comble pour un Nobel de la paix-, il a voulu jouer avec ses supporters illuminés en enlevant sa veste, tout en déclarant: «Nous pouvons être un peu plus informel entre amis". Mais, un peu surpris qu’il n’y ait que très peu de monde, il a voulu détendre l’atmosphère en promettant une énième fois qu’il fermera la prison illégale de Guantanomo Bay, tout en justifiant l’espionnage et les écoutes téléphoniques à grande échelle pratiqués par son gouvernement, jusqu’en Europe. Pour lui, ce dispositif a permis de sauver des vies. Sur le nucléaire, il a rassuré tout le monde, en disant que les Etats-Unis, en accord avec la Russie, allait baisser leur production d’un tiers.

Réflexion sur le nucléaire:

"Nous ne pouvons pas vivre dans la peur d’être anéanti par le nucléaire, mais aussi longtemps que les armes nucléaires existeront, nous ne sommes pas vraiment en sécurité"

Sur l’espionnage, le mensonge chevillé au corps:

"Nous savons qu’au moins 50 menaces ont été évitées en raison de ce programme, et pas seulement aux États-Unis, mais dans certains cas, des menaces ici même en Allemagne"

Auparavant, l’Antéchrist donnait une conférence de presse commune en compagnie de la chancelière Merkel.

Sur la Syrie, Barack Obama a ostensiblement refusé de révéler les détails que son gouvernement a récemment pris concernant les terroristes qui cherchent à renverser le président syrien Bachar al-Assad. Mais, on sait très bien que les responsables américains ont confirmé que l’administration a approuvé la livraison d’armes et de munitions à la soi-disant opposition.

"Je ne peux pas et ne ferai aucun commentaire sur les détails autour de nos programmes liés à l’opposition syrienne"

Un vrai clown au service du mal…