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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
6 février 2014

MOSCOU À L´UKRAINE : PAS DE BASCULE DANS L´OTANISATION !

 

L'EUR-OTANISATION DE L'UKAINE

 

L´assouplissement de la loi sur l´amnistie avec promesse de la mettre en pratique sous condition d´évacuation, le droit de manifester, la formation du gouvernement en lieu et place de celui, démissionnaire, ces offres alléchants n´ont pas suffis à faire plier le poids lourd de la boxe, Vitali Klitchko et son Co-opposant Timochenko, farouches opposants qui rejetteront tout en bloc.

Depuis, 

 

Série Nouvel Ordre Mondial : FUTUROSCOPIE

L´’UKRAINE EURO-TANISÉE ?

 

L’UKRAINE BASCULE EURO-TAN ?

 

KAISA ILUNGA

 

L’UKRAINE BASCULE EURO-TAN ?

Le poids lourd Vitali Klitchko confondrait-il Boxe et politique, domaine dans lequel il excelle  aux cotés de son Co-opposant ?

Ces farouches gourmands de l'opposition rejetteront en bloc les assouplissements consentis par Ianoukovitch. À l´allure ou vont les choses, l´atmosphère s´empoisonne de plus en plus, un calme qui précède l´ouragan plane. Dores et déjà, l´Union Européenne promet une enveloppe à l´Ukraine tandis que Moscou qui ne veut point restera pas en laisse, offre une plus volumineuse, soit 15 milliards de dollars. Moscou promettra aussi de revoir à la baisse le prix du gaz russe. En attendant, Kiev doit à Moscou une rondelette somme de 3 milliards. L´offre, carotte-bâton n´aboutira qu´a condition de respecter les engagements ; question : « de quels engagements est-il question ? ».

 Kiev, assoiffée de gaz, aurait-elle promis fidélité et impossibilité de bascule vers l´ « Eur-Otan » qui lui fait, depuis, des doux yeux? Voilà donc Kiev coincée entre deux convoitises, voir trois dont elle poura sortir qu´affaiblie, dumoins, son président Ianoukovitch dont le siège, il faut le dire bacule. L´Ukraine, divisée entre les pro-Moscou et ceux de l´opposittion, pro et prêt à s´européaniser. L´Ukraine décomposée, déchiquetée voir décapitée entre, d’une part, Moscou et de l´autre, l´Eur-OTAN ». Cela dit, Moscou aimerait récupérer tout d´abord ce qui est à Moscou, sa dette bien à temps, avant, au cas où, elle aura perdue la bataille tandis qu´elle sera prête à faire des concessions si seulement si, Kiev n´accepte pas de fleurter avec le 1er venu l’EUR-OTAN » et ne bascule dans l´autre camp.

Moscou a reniflé la  menace qui se dessine à l´horizon, elle va désormais ouvrir l´œil et le bon en s´impliquant beaucoup plus, dans la gestion de l´aide par le nouveau gouvernement qui remplace Mycola Azarov qui a du reste déclaré que sa démission était motivée par le souci de voir se décanter la situation. Par ailleurs, l'Ukraine n´arrive pas à payer ponctuellement ces factures de gaz à Moscou qui devient de plus en plus nerveux.  Ainsi donc, Le manifestants bravent encore le froid et espère arrachaient la démission de Ianoutchenko. Il y a dans cette crise qui persiste, une peur, Moscou redoute de se voir arracher des privilèges qu´elle avait, il y a risque d´Otanisation, l´Europe semble faire des doux yeux à l'Ukraine, ce qui ne plaît pas du tout à Moscou qui change brusquement de ton mais ne dit pas ouvertement sa fureur; cela ne saura tarder car les convoitises de l'UE et des promesses d'aide inquiètent visiblement  Moscou. Juste au moment ou Catherine Ashton, la patronne de la diplomatie européenne visite Moscou ce 05 Février, tout en montrant un certain empressement à voir Kiev s´y mettre pour résoudre cette crise. Tiraillée de toutes Parts, l´Ukraine ne semble pas etre prête à trouver un terrain d´entente avec les manifestants dont la majorité a tendance à voir Kiev se rapprocher de l´Europe et c´est justement là qu´un nouvel élément entre en ligne de compte.

Moscou n´acceptera pas que Kiev bascule, "s´otanise" et rompe avec elle. En effet Moscou a plus d´arguments pour faire chanter Kiev ou barrer route à quelques puissances que ce soit avant d´avoir une garantie de récupérer sson argent encore entre les mains de Kiev. Moscou ne lâchera, pas facilement prise, du fait des instruments ou raisons qui placent l´Ukraine en position de faiblesse. L´Ukraine qui a des factures à honorer, évaluées en milliards, non encore payées et les promesses de l´aider financièrement avec un pactole de 15 milliards de dollars. Cela étant, le bond dans l'Union Européenne sera ou risque d´etre une raison ´d une intervention musclée.

C’est en fait L'Europe et l´Amérique qui ont une connivence tandis qu´ici aussi, la chine n´hésitera point à venir en renfort aux cotés de Moscou. Il couve une tension en arrière plan qui n´a pas encore dit son dernier mot. Tandis que Catherine Ashton a eu un entretien avec Ianoukovitch, elle dira que Kiev se devait de faire plus en matière de réforme et formulé le vœu de voir le mouvement s´accéléré.

Habitué en boxe aux fameux K.O., Klitchko a, au nom de l´opposition, réclamé la rédaction d´une nouvelle loi fondamentale et révision de la constitution voir, son recours à celle de 2004 tout en menaçant de voir  s´intensifier les manifestations. Vitali Klitchko ajoutera qu´à défaut, ils réclameront des élections anticipées. enfin il ya lieu de dire que l´on se trouve là à la veille d´une escalassions de la situation qui est du reste très tendue qui risquerait de s´aggraver d´un moment à l´autre si jamais une intervention extérieur s´immisçait tout en évoquant les mêmes raisons fallacieuses de manque de démocratie et de tortures voir le manque de respect des droits de l´homme.

Pour l´heure, Moscou se trouve aux aguets et scrute tout entrée en danse de Washington et ce, même sous les carapaces de la chef de la diplomatie européenne ; Moscou mène la garde et se trouve en alerte. Il est donc très difficile de dire que rien ne se passera à partir du moment où l‘opposition est visiblement attirée par un rapprochement avec l´Europe alors que Moscou ne veut point sacrifier l'Ukraine sans s´interposer. Il y a donc des risques de voir cette dernière, menacée de morcellement, voir d´émiettements entre Moscou et l'UE. À noter que le basculement de l´Ukraine ne va point se dérouler sans effusion de sang. Il y a donc risque d´escalassions, provoquées avec ces jets d´huiles sur des flammes, de la visiteuse de l´UE représentée à Kiev par la chef de sa diplomatie Catherine Ashton. En outre, profitant de sa présence, elle invitera l'Ukraine à "faire plus" pour sortir de la crise qui secoue le pays depuis plus de deux mois.

Il filtre donc un bras de fer entre Moscou et les coalitionnaires, parmi lesquels se cache un géant qui aimerait que l’Ukraine bascule, l´ombre de l´Amérique rode. Moscou ayant brillé par l´expectative contre les forces coalisantes dans les putschs  Ivoiro-libyens, semble , cette fois ci, être décidé de peser de tout son poids dans ces conflits à bouclier, terroristes, démocratiques et d´autres raisons bien fallacieuses, de respect des droits de l´homme. C´est désormais connu, l´Amérique et ces associés poursuivent sans désemparés le fameux plan de réaménagement du Nouvel Ordre Mondial, jusque dans les entrailles de Moscou qui a du reste compris que l´heure a sonné pour résister et riposter.

Cela explique la difficile équation de faire tomber Ianoukovitch, sans passer sur la dépouille de Moscou, avec à ces cotés, la chine. Du coup, je m’interroge : « L´opposition ne devait-elle pas accepter les sièges offerts quitte à amorcer les changements, une fois au pouvoir ? ». Cela étant, la preuve de l´intransigeance est à présent établie, l´opposition veut tout et tout de suite ; dans le cas présent, le pouvoir ne se ramassera pas facilement dans la rue quoi que Ianoukovitch se trouve, sans conteste sur la pente raide et risque d’abandonner ce bras de fer, Moscou pèsera sur la balance. En attendant, l´opposition appuyée par l´UE va, à coup sure enfoncer son clou des revendications jusqu’au bout afin chasser Ianoukovitch du pouvoir et basculer dans «l´EUR-OTAN».

Trop c’est trop !

Moscou serait prêt à croiser le fer  avec quiconque…À moins que Ianoukovitch dépose les armes afin d´éviter une catastrophe.

 

 

Convoitise de l´Europe ou étranglement avec des mesures qui interviennent ou n´interviendront pas, les choses se corsent. Ianoukovitch livre un dernier combat très au rayon d´action bien réduit au fur et à mesure que l´Europe qui kui fait en même temps des clins d´oeil, l´étrangle avec ces mesures qui démontrent que le pays se trouve sur une pente. La situation tend vers un dénouement qui risque de connaître des vaincus et vainqueurs. Si jamais ce conflit se propage en dehors de l´ukraine, ce qui est déjà le cas, il y aura des intervention jue´sque là restées dans l´ombre. Washington et Moscou qui s'épillent encore..

suite de

Moscou à l´Ukraine.

 

 

 

 

 

 

 

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