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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
5 octobre 2015

UKRAINE : MOSCOU-WASHINGTON ÉVITERONT-ILS L'EMPOIGNADE "VIDEO"

L´heure d´un gigantesque

"face à face" l´instant d'un

"bras de fer"La minute d'un

"à bout portant entre l'Amérique et la Russie" n´a-t-elle pas sonnée?

Alors que l'éclatement de l´Ukraine, la déchirure est entamée, l'amputation est entamée avec la présence d'hommes en uniformes en Crimée  et des nouvelles structures régionales.

Les forces américaines qui pretextent des manouevres militaires, en mer noire, meme raison mensongère qu´avait utilisé Moscou lors des manoeuvres soldatesques  dont le but n´était que d´envahir l´Ukraine, les forces américaines vont-elles cette fois ci encercé la Crimée, poser pied à terre pour désarmer des soldats russes?

Washington ne risque t-elle pas sur demande du gouvernement provisoir d'envoyer ces troupes à terre dans la partie pro-européenne afin d'éviter des tentatives propensionistes d´une Russie qui souhaiterait récupérer ou indexé toute l'Ukraine?

 

L'Europe et l'Amérique en croisade dans une coalition d'un "Nouvel Ordre Mondial" suite, interrompue à l'étape de la Syrie par ce même Moscou ne vont-ils pas mettre à 'épreuve Molscou dans un bras de fer qui permettrait de voir jusqu'aú la Russie peut pousser son entêtement?

Le moment n'est-il pas propice pour tester la détermination de Moscou de vouloir tenir tête contre le reste du monde,l'Amérique  aimerait concrètement savoir, voir si Moscou qui est resté sur l´expectative pendant les violations des intégrités territoriales  Libyenne et Ivoirienne, si cette fois ci, Moscou s´interposerait en brandissant ces armes?

Les frontières de la provocation ne sont-elles pas tombées?

Les chances d'un règlement négocié qui éviteraient le démêlage des briques d'une partie de l'Ukraine à la Russie s´aménuisent. Pour l'heure, Moscou ne veut point lacher prise et parle d´humiliation qu'elle réserverait à l'Europe et à l´Amérique comme si cela donnerait une quelconque leçon de morale à une Europe déterminée à aménager son monde comme elle entend? 

Russie avec le morceau de kroutschev datant de 1954, ce cadeau empoisonné qui fut jusqu'en 1991 avant 'éclatement de l´Union soviétique, une des 15 République de celle, 28 fois plus petite cette fois là, très peuplé qui fit la convoitise de l´allemagne, la Pologne et bien d'autres états encore semble n´avoir jamais appartenue à l´Ukraine toute en étant partie intégrante et bien autonome, géographiquement, sur la carte elle est a Ukrainienne en vérité 30 ans encore, elle se doit être le garage, le parking des bâtiments de guerre Soviétique?

La Crimée qui est culturellement , l'inguistique, penchée vers la Russie ne pourra, autrement dit ne peut être reprise à la Russie qui la revendique et l´occupe qu'en donnant la parole aux canons, aux avions de chasse, aux destructeurs américains se trouvant en route en direction de la mer noire?

La diplomatie a-t-elle encore des chances de sauver la collision entre les deux grands et permettre à l'Ukraine de demeurer une et indivisible?

Moscou lâcherait-il le lopin de terre pour éviter les sanctions qui risquent de l'affaiblir sensiblement?

Moscou défend Ianoukovitch , victime d´un putsch inacceptable au lendemain de la signature des accords non respectés entre l'ex gouvernement, les oppositions qui devaient faire baisser la tension entre les pro-européens contre le gouvernement?

Ianoukovitsch, condamné et pour meurtre prémédité et malversation ou encore, détournement des milliards des caisses de l'état Ukrainien, son retour au pouvoir tel que réclamé par Moscou est chose difficle? 

 

BRAS DE FER TEST

Les risques d'une guerres sont visibles quelque soit le fait que entre les grandes puissances, les apparences d´un semblantd´entente ne reposent sur aucune règle solide. Il y a longtemps que l´atmosphère s´est empoisonnée entre l´Amérique et la Russie dans plusieurs affaires, celle d´aujour'hui s´avère être beaucoup plus grave en ce qui concerne les risques d´une empoignade musclée.Quand bien même l'opinion serait d´avis que la guerre pourra être évitée, Moscou n´entend pas partir de la Crimée sans forte résistance et voir refus d´obtemperer ni de céder aux menaces de sanctions.

Que redoute la Russie si jamais la Crimée demeure partie intégrante d'une Euro-Ukraine , une et indivisible?

 La Crimée a dores et déjà en prévision du congrès, dit vouloir se détacher du reste de l'Ukraine, la goutte en trop qui risquerait de voir le débordement de vase.En attendant, il y a le calendrier électorale qui devait permettre des nouvelles élections en remplacement du gouvernement provisoire, celles ci sont pour le 25 prochain. à ce niveau aussi, il y a des fortes chances de vivre des surprises avec la non participation de la Crimée et de toutes les régions pro-russes, une façon d'exprimer la rupture mais aussi la confirmation de l´intention d'amputation de l´Ucraine.

Moscou ne redoute-t-elle pas l´agrandissement des frontières de l´Europe qui se rapprocherait dangereusement et redoute de se réveiller un matin avec des missiles plantés par l´Amérique et l´Europe, pointés dans sa direction?

N'oublions pas qu'un coup d'oeil au rétroviseur nous remmène quelques années en arrière vers Panama, Grenade, des bruits de bottes américains, l'Amérique qui n'avait point hésité à violer des territoires. Entre autre présence américaine, l'Amérique semble jouer un autre rôle de désunion, de séparatisme entre les deux Corées ou elle brandit ces biceps et semble prêt à en découdre avec la Corée du Nord. Ne revient-elle pas d´une croisade d'injection démocratique en surdose en Cote d´Ivoire et en Libye où les flammes des guerres ne sont pas encore éteintes?

Cécession de l´Ukraine, des contours ce 25 présidentielles

Crimée : Moscou "teste" les Occidentaux (Marie Mendras)

La Crimée veut devenir Russe l'UE suspend le dialogue avec Moscou sur les visas

 Non respect, violation de la charte des Nations Unies par Moscou sur l´intégrité territoriale de l´Ukraine, conséquence, des mesures punitives tournant autour d´un étranglement financier, autrement dit, des sanctions.

À lumière de la situation actuelle, la tension est grande, tellement grande  qu'il suffirait d'une étincelle pour mettre les flammes à 

l'Ukraine, non seulement cela mais aussi un risque de précipitation et de piège que provoquerait l´une ou l´autre partie en conflit et d´ailleurs, la nervosité risque d´avoir un véritable terrain d'explosion qui marquerait la reprise des rivalités qui étaient en veilleuses.

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