Monologue Matinal - Mail à Kimbambi Shintwa- La Voix Du Zaire L'SHI ET CES PIONNIERS-Reportage Kaisa Ilunga- BONNE ÉCOUTE !

Kaisa Ilunga 

            Les Grosses Pointures de L'OZRT

                                                      

J'ai eu la divine, l'exceptionnelle grâce d'avoir , venir et partir, d'assister à l'allumage d'étoiles de la "Voix du Zaire", filant très haut, au firmament des chevaliers de la prestigieuse plume et du microphone. D'autres s'éteignant en court et certain s'illuminant d'une trajectoire éclaire, déchirant ciel et terre echos, de popularité pour leur savoir faire ...plutôt, le savoir dire, reporter des événements. Cette photo , tableau inoubliable des monuments, ne les a pas tous réunis néanmoins, des monuments sont en place, côte à côte...Je me fais le plaisir, l'honneur, le devoir de remuer mes souvenirs, pour reconstituer ce puzzle de photo en les citant, les uns après les autres, car, je puis me targuer d'avoir travailler, fait du chemin, couru à m’essouffler, dans un marathon d'apprentissage et de dépassement- loyale entre jeunesse et sagesse, beau métier :"le journalisme. Certes "Bakishis " ,les dieux de nos ancêtres, mon bénis et permis de m'infiltrer parmi des incomparables et rugissant

"Léopards de la presse", ce fût pour moi, MISENGABU KABEYA, Tantine,L'shi, Jane Mikiti, Ignace Mabeka, Ntambwe Mushapata,Kaisa Ilunga, un pugilat journalistique. Les absents sont, Abraham Germain Mbayi Kaninda, Kwebe Kimpele, Bebe Shelemu, Kisema Kisundi Wa, asongo Mwema Yamba Yamba, Kabongo Ilunga, Kasonga Mbunga, Kalala Kafumba, Kadima Bukasa, Tshimpumpu wa Tshimpumpu, Mbiya Mpoy Mbiya,Kabala Mwana Mbuyi, Basunga Nzinga, Lumbana Kapasa, Mukendi Kasonga Madimba, Kadima Bukasa, Kambale Djuwa Kali, les politiques, Kande Dzambulate, Sakombi Inongo, Dongo Badjanga, Ramazani...Gulenga Thomas Rex Gulenga Gabilu,Jean Victor Biyevanga Lengiemi, Kabamba kakab Musa abab, l#inoubliable Lukusa Kabambula bowa, Pierre-celestin Kabala Muana Mbuyi, Ngwanza Malonda, Tshimigni Mundele, Kalasa M'siri, Zadain Kasongo, Tshiswaka Njila Mule...d'autres noms suivent...

Thomas Rex Gulenga Gabilu Voici la suite: Nzila fanan, Fwasa Tombisa du Yaba, Mosete Mbombo mata elombe alias "Mafuta ma ntaba", Ayimpam Muana Ngo, Nzazi Mabidi, Florent Lomongo Nkake, Bruno Kalala Tshimakinda, Pierre Kalala, Barthelemy KABUYA MULAMBA MUTEBA, Michel Museme Diawe, Ngwanza Malonda, Raymond Tedika Kisunga, Amuri Tambwe, Jean Katendi Zola, Mua Mpiana Mère Joe, Sakombi Bakonzo, Tiembe Gani, Jacquie Betoko Ngeli, Amin Bin Mutama, Lukisa Mazungidi, Cécile Rose Salangudi, Lisette Makwéno selo, Selo Ndam, Paul Basunga, Ekwalanga Monga Likita aboma soda, Manda Tchebwa Tshia Mulanga, Maman Ekomiya , Ngoma Ntanda di Makwala, Mandungu Bula Nyati vieux Tony, Malewu wa Malewu muna Ma Sudila, Bienga Masidivingi, MBUYI MBWEBWE alias cadeau surprise, Mbaki Mazakala, Nicole Dibambu, Chantal Kanyimbo, Kayumbi Beya, Lunkuku Sampu, Eugènie Lape, Emmanuel Kipolongo Mukambilua , Landu Lusala Kasa, le vieux Mboma, Mboma Bendo Somone et tous ses autres vieux outres de la Voix du Zaïre

Pension Précoce

Rattraper Vie qui Trépasse!

Il y a 6 minutes

Nous courons très souvent après le superflu au risque d'en oublier la jouissance cardiaque

Mordre dans la vie

Vie qui passe

Vie qui dépasse

Vie qui tracasse

Pendant que tu j'acasses

Alors que des fois, elle ne laisse point traces

Que de courir au lieu de rire

Course effrénée derrière du superflu

L 'appat du gain

Folle course effrénée du gain

La possession

L'accumulation

Alors que matériel, tout bibelot est périssable!

Cupidité, Vanité

Quel gâchis que de s'acrifier sa parcelle de souffle d'emprunt

Souffle reçu au hasard d'une étincelle de vie qui n'est point éternelle

Vie qui vacille, tourne telle la flamme d'une bougie dansant au grès du vent , ici et là...

Flamme tournant fou et menaçant de s'éteindre...telle vie à peine entamée est déjà, mèche consommée, consumée

à peine à son aube...

Enfin, joindre l'utile à l'agréable, voilà ce qui nous reste à faire...

Moi, j'ai opté pour le jet de l'éponge en prenant pension précoce

Consacrer le reste de ma vie aux amours:

" écrire des livres afin de délivrer vie gardée prisonnière par des forces obscures

Aimé, jouir, puiser le jouissif de ma dulcinée, épousée au soir de ma vie

puis voyager vers des destinations inconnues, ramer sur des vagues tanguant es de l'aventure...bien tard que jamais!

Il est 06hr00, paupières lourdes, je gribouille, un mail à Kibambi Shintwa, pareille à celui ci que je trouve aussi chantant que les autres alors, autant vous inviter à fouiner dans mes affaires  privées...lui, Kibambi, n'en sait rien de ma divulgation...de toutes les façons...c'est sans secret, celle ci est mienne, celle lui adressé était un mail en ce Mois de Mais 2014...non identique, elle est corrigée...du moins la votre...

Celle ci n'a rien d'un Mail allez-y,  lisez et avallez des mots et vous verrez qu'elle vous emmène plus loin vers des directions zigzagantes, jusqu'aux terrains de foot, dans des stades, au microphones des reporters Congolais de l'époques, ces pionniers oubliés ou presque que d'autres n'ont pas connus ni entendu mais qui étaient des véritables carillons de l'Afrique...toute confondue...des fondateurs d'une radios, des harangueurs des masses, des séducteurs et des diseurs des faits et gestes ....enfin, contrairement au mail lui adressé ...bourré de fautes d´orthos et de frappe...à propos, Kibambi c'est celui là que vous connaissez...qui fut mon excellent collègue, mon aînée de ...disons quelques bouffées d'années...et oui, moi, Kaisa Ilunga, j'ai eu la chance, la précoce chance et toupet de me glisser dans la cour des grands Reporters de l'èpoque, des grands journalistes que j'ècoutais toutes oreilles dressées...Tshimpumpu wa Tshimpupu...une Voix...unique en son genre...une voix musicienne d'un journaliste à la verve oratoire in comparable...un reporter sportif de charme...ce vieux distillait des chapelet de mot ininterrompus...qui tombaient telles des gouttelettes, des pépites des mots justes, correctes coincés entre des articles et compléments et sujet et noms, le tout, dans une vitesse inouïe d'un flot de parole à la vitesse du coup franc d'un KAKOkO rugissant à l'attaque...Nous sommes en coupe d' Afrique, les léopards du Zaire s'emparent du ballon rond... 

À l'écoute de La Voix du Zaire

Lubumbashi-Tome 1

Kinshasa Tome 2

Kaisa Ilunga raconte la belle époque

Des folies du journalisme Radio...Inoubliables...immémoriaux...ces temps

À l'écoute de la Voix du Zaire émettant depuis Lubumbashi

Vous êtes à l'écoute de la Voix du Zaire!

Fidèles Auditeurs:

"Bonjour et bonne écoute"

Au  microphone:

Kaisa Ilunga...pour vous divertir

La suite avec Kisema Ki...Hésitation, silence, tellement ce nom dit intime que dis-je Vouplutôt violeur...car il va au fin-fond des membre...-

Quand soudain, une réclamation retenti telle un rappel à l'ordre car ne l'oublions pas,
Kisema Ki Sundi Wa Lubolo était bien gradé, bien titré dans la hiérarchie donc, il fallait poursuivre ...à tout prix la compromission de ce nom macabre dont la traduction  cochonne n'est autre que ce que l'on ne dit jamais en publique...surtout quand l'on a une dose de pudeur...C´est un nom cauchemardesque qui est la traduction de ...attention...serrez vos ceintures car nous allons décollé...

Kisema ki Sundji Wa Lubolo et il ajoutait:" Ma...f...chi ai kosake etc...enfin...mes souvenirs me lâchent en cours de compte...veuillez m'en excuser car ces scènes se passent en studio et ce, de surcroît, en direct sur les antennes de la Voix Du Zaire, une des grandes, voir la meilleur des radios , pas seulement africaines mais alors, mondialement, la mieux animée, la plus chouette, riche en animateurs et étoiles...des véritables chevaliers de la plume et du microphones...des diseurs de nouvelles, journalistes avec grand     "J" Kisema Ki Sun...Wa Lubolo...Thshilonda tshamulamba, Ngongo Kamanda, Kasongo Mwema,  Kabongo Ilunga, Kibambi Shintwa Wa Musememba, Mbiya Mpoyi wa mpoyi...

KISEMA KI SUNDJI WA LUBOLO...FAISEUR DES TALENTS-DÉCOUVREUR...LE BOSS-L' EMBAUCHEUR

À suivre Kisema Ki Sundi était un découvreur, un patron, un journaliste truffé des qualités rares car ce Monsieur au sourire permanent et àl'esprit en éveille était un faiseur des journalistes et animateurs. Il avait l'oreille et la magie de courir avant le temps, ce météorologue précédait le temps et était un prévisionniste de grand talent, c'est lui qui va recruter des jeunes reporters des rues tel ce jeune homme que j'ai cru entendre alors qu'il m'avait dit et prédit que je ferais de la radio mon dada, mon boulot, ma profession, il me dira que j'avais des qualités à mettre en exercice, en exergue, en pratique en venant au journal parlé dont je ne connaissait que dalles les ficelles ou rouages du métier. Hésitant et ayant peur de fire les bouffons, d'etre qualifié de médiocre, la peur m'avait envahie et cette peur du microphone, appelée trac m'innondait. Dejà animateur à la radio, je ne pouvait gravir les marches aussi rapidement qu'il le voulait et ce, sans aucune formation néanmoins, j'excellait déjà dans la boite enfin, nous y reviendrons...tandis que le jeune reporter de la rue imitait des vrais et le faisait aussi bien qu'à la radio, Zadain Kasongo avait une voix radiophonique et faisait des reportages des rues des matchs des jeunes.

Il va rencontrer, plutôt, découvrir, dénicher aux croisements des hasards, le sieur Wa Lubolo qui lui dire de venir prester à la voix du Zaire. Quant aux fameux reportages, je ne puis dire si Zadain, ce jeune homme imitait Tshimumpu ou kasongo Mwema. Seulement voil``a mon tour, je ferais une entrée à la rédaction française avec, comme tache, de présenter les informations d'actualités politique et culturelles.à l'époque il y avait,  assis au pupitre des commandes, presque en fuit, caché derrière la vitre, séparant le présentateur et le technicien, l'ingégneur du son. L'un des plus connus, le plus populaire d'entre eux était, le tout jovial et souriant voir riant aux éclats, le très chic...

Djejo Esseko Modjagul, Ingégneur du Son

le nommé DJEJO ESSEKO Modjagul, un jeune dynamique père de famille précocement marié...

Djejo avient des allures du moins , il en donnait l'impression... d'etre un chef d' orchestre qui savait enchaîné des éléments audio et autres, derrière la vitre...Djejo Esseko était une sorte de sentinelle de la radio et y habitait, petit de talle, le pli en place, toujours chic, il incarnait le DJ des grandes radio nationales et s'était fiat un nom, un renom grâce à sa rapidité dans les enchaînement des musiques et interviews. Il était d'une promptitude absolu et répondait en connivence à toute demande de bouches trous en cas de catastrophe sur les antennes et ce, en direct. Véritable sauveur des meubles, il a avait fait de la radio son 1er amour.. et ne cessait de faire des exploits! Sacré Djo, paix à son âme et je présume qu'il repose en paix... à ce qu'il parait, cette vedette de la radio et séducteur sur ces" moins d'un mètre", Djejo était petit de taille à la démarche réduite en vitesse à celle de Charly chaplin!

Il semblerait que sa fin de vie était des plus douloureuse...il aurait été pris, main dans la culotte...pauvre Djejo et d'ailleurs, paix à son âme!  Pris en flagrant délit de frottement ...mieux encore de....disons, tripotage préméditée, main dans la culotte autrement dit déculotté par une fanatique djejo Esseko, l'ingégneur Technicien était en danger de rupture conjugal, surpris en  accouplement... donc, une preuve en trop de...d'infidélité, l'épouse aurait ruminé une rogne excessivement cruelle à l'idée de se savoir victime des tricheries... d'un mari.... volage car, la radio était une sorte de cage, d'arbre à miel, un "repère d'obc...possédés, courtisé à tous coins de rues par des mélomanes de la junte féminine pour l'acte, le péché", à croire que la chose était l'essence qui donnait de l'inspiration.

Les journalistes et animateurs en étaient friands et victimes violées...bien des fois! les admiratrices en étaient esclaves...étrange cette aimant attractif entre les hommes de la radio et les âmes soeurs!

La station de radio de Lubumabashi était devenue, en dehors du boulot de qualité supérieur, haut de gammes qui s* en volait vers des récepteurs de radios, à travers toute l'Afrique et distillant des bonnes et mauvaises nouvelles, la Station était devenue un ...Station d'amour, pareille à une station d'essence.

La voix du zaire était en ébullition et marquait le tempo quotidien tandis qu'en parallèle, elle était un appât pour les gonzesses, elle attirait-beaucoup de femmes et personnes n'étaient à l'abris d' agressions sexuelles des âmes soeur...de telle sorte que tout journaliste pliait sous le poids du pe´ché de la chaire...La radio était un repère des dragueurs, victimes de leur popularité...