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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
12 août 2014

RDC : KABILA PARTIRA PARTIRA PAS?

Les chiens aboient , la caravane passe?

Kabila fera-t-il la sourde oreille alors que les cris et protestations s'intensifient? 

La réponse est:"Oui", il se pourrait qu'il s'entête et poursuive son mandat tout en comptant sur l'armée, cette sorte de troupeaux qui n'osent pas faire usage des mains face à une poignée de civiles rebelles et armés des bâtons, elle fera feu, tuant sans sommation quelque brebis naïves d'une Église spirituelle.

Partira, partira pas?

Mais où devrait-il se rendre où il serait en liberté, sans inquiétude de quelques poursuites que ce soient?

Ce constat et en meme temps question serait à la base d'un vas et viens hésitants derrière les barreaux d'une petite ou dernière

surface de gesticulation,, de recherche de voie de sortie stratégique pouvant lui assurer une quelconque survie tout court ou une survie politiphysique, en termes claires, une liberté des mouvements.

 Cette non inquiétude n'est possible qu'à l'issue d'une vie ou d'un mandat irréprochable. Est-ce le cas pour Kabila qui a brillé par des brutalités inutilement criminelles?

Le Président sortant en serait conscient et redouterait des poursuites.

 Ainsi donc, il ne serait pas prêt de partir?

Il serait aussi prêt de partir car il se sait condamner à céder le pouvoir au regard de la constitution. Mais hélas qu'est-ce qui l'empecherait de tripatouiller?

Rien, il suffirait de passer par la voie légale en corrompant tout son monde. Cependant, l'on s'interroge sur le culot et sa source d'en arriver là ou d'essayer de briser le mur de protestations pour braver celui de l'impopularité afin de déboucher sur une imposition de sa candidature?

Ayant vu, côtoyer et goûter aux délices du crime, pour imposer son maintient, il se pourrait qu'il ose, qu'il tâte encore la force de la résistance populaire pour y aller de nouveau, au cas ou la peur provoquerait le recule de la population. Autrement dit, rien ne l'arreterait à faire ou ne pas faire avec les prolongations ni d'éssayer de mater les foules pour enfin constater qu'il n'aura que réussit à gagner un peu de temps avant de disparaître dans la poubelle des histoires tyranniques d'une politique royalement médiocre!

Entres autres sujets qui fait couler beaucoup d'encre et de protestation, le tripatouillage de la constitution qui avait connu une 1ère réécriture basée sur le nombre des tours ou étapes de l'élection présidentielle. Un raccourci de tricherie qui bloquerait toute la transparence d'une élection dépourvue de truquages voir de toutes sortes de bourrage d'urnes que l'on a toujours déploré.

2016 se trouve être l'année marquant la fin du mandat  Kabila, un mandat décrié non seulement par les congolais de l'interieur mais aussi de l'extérieur qui ont d'eclaré la guerre au gouvernement en place. Quoi que décrié de tous coté, les observateurs internationaux voir les chefs d'etats qui se sont impliqués dans ce lourd dossier d'une tricherie élective reconnue par tous, pêcheront par complicité ,voir tolérance injustifiée ou impuissance quant à une solution négociée . À croire que la règle du jeu électorale se résume en cette règle simpliste d'un  "Qui perd, gagne". Là où le bas blesse, ce que cette fois ci, le perdant avouera et reconnaîtra son échec sans pour autant céder son le fauteuil présidentiel au gagnant à l'élection. Ainsi donc, se sentant tout puissant, appuyé et par une petite armée et toléré malgré tout par des états Européens, il va s'enteter au point de toiser tout le monde et de mater criminellement toute tentative de révolte.

Kabila a manqué de sagesse en ce qui concerne le respect des droits de l'homme car quelque soi son maintient dans un fauteuil illégalement emménager pour lui même, il va utiliser la force pour essayer, en vain de faire taire des voix contre son régime. Que de faire profile bas, il poursuivra ces matraquages et brutalités jusque sur des territoires étrangers cherchant à pourchasser des opposants désarmés; ces pratiques d'un banditisme et d'une voyoucratie d'état sont depuis son début de mandat, monnaies courantes cependant, celles ci n'ont eu aucun effet quant la démarche escomptée de voir se taire les congolais ou encore de les pousser au silence absolu bien au contraire, la diaspora ainsi bien que les opposants congolais, vont riposté tant physiquement que verbalement en noyant le gouvernement Kabila dans de l'encre rouge de critique et d'interdictions de toutes sortes en dehors des frontières congolaises. 

Toute fois, les grandes questions futuroscopiques qui demeurent sont :

-Kabila partira-t-il-de lui même oui ou nom?

-Kabila négocierait-il son départ, les poches remplies à ras le bord?

-Kabila aurait-il peur des poursuites judiciaires pour crimes, crimes reconnus par tous, entres autres, par Monsieur François Hollande pour le cas de "Shebeya" dont il inaugurera le centre à Kinshasa, lors de son passage dans le cadre de la Francophonie. quand bien même il négocierait un départ, encore que celui-ci ne s'écroulera point sur la pointe des pieds. Kabila risque d'être pourchasser jusque dans ces bunkers eu égard au nombre de crimes commis pendant son mandat, il n'aura point de répis. Cela, il le sait pertinemment bien étant donné que la plupart des crimes étaient commis sous la lumière du jour et ce, sans peur de r´ßeveiller une quelconque justice en profond sommeil et sous une intense peur de se voir à son tour liquider sans autres formes de procès. disons le tout de suite, toutes ces morts étaient inutiles car Kabila pouvait poursuivre son mandat décrié face à une opposition désarmée et décomposée.

Ainsi donc, au niveau des oppositions, il faut cependant reconnaître la part de gu lion en ce qui concerne le rôle oh combien dissuasif joué par la diaspora qui ne manquera pas non plus d'utiliser les même armes du gouvernement Kabila qui n'*est autre que le tabassage d'acteurs politiques du régime Kabila en dehors des frontières Congolaises. Bien entendu, on déplorera des dérapages sur des personnes civiles sensées engagés des débats contradictoires avec les membres du dit gouvernement. Ainsi donc la diaspora réussira à interdire tout effervescence à même de distraire voir d'abrutirl des congolais, victimes d'un exile forcé; interdiction de concerts et autres spectacles, le paysage culturel changera et imposera une concentration générale sur l'urgence de la situation politique prévalant en RDC.

 -De lui même, Kabila ne sera jamais prêt à se lever de la table du pouvoir, pleine de victuailles à laquelle il est confortablement assis et ce, ans inquiétudes. Le pouvoir étant un plat bien délicieux très peu de chefs d'états seraient prêts à l'abandonner en plein banquet. Par conséquent, il faut une très forte pression intérieure et extérieure bine franche et non timide pareille à celle qu'utilise une Amérique qui attendrait de voir de quel coté le vent soufflerait le plus fort, pour se mettre à l'abris enfin du coté du plus fort. Ce choix intervient le plus souvent, pendant le bras de fer opposition contre tyran résistant et voulant à tout prix se coller au pouvoir. Un combat aux biceps-tricepsanger et  malheureusement, la plupart des temps, l'arme l'emporte sur la raison.

Cette fois, il y a une poussée assez forte mais encore suffisante pour faire basculer toutes tentatives de tripotages. Oui, il se négocierait un départ sans garantie aucune car, la perte de toutes immunité le fragilisera à coup sure; Kabila sera justiciable et si ce n'est une autre fin tragique, se retrouverait devant la barre pour répondre des crimes et autres agissements criminels. à noter que derrière lui, il y a toute la bande des congolais qui avaient choisis de composer avec ce dernier, parapluie fragilisé par une impopularité due en grande partie à sa cruauté et son coté sanguinaire...À moins de braver toutes les critiques, de passer outre toutes les raisons que lui impose la constitution, il serait tout de même en mauvaise posture pour décider d'un truquage conduisant vers une prolongation de son mandat.

Kabila serait aussi  prêt à abandonner le pouvoir, acculé comme jamais, pris en étaux de toutes parts, il serait sans porte de sortie , encore moins une sortie honorable quelques soient ces trompes l'oeil d'ememangement que tout politicien conscient se devait bien avant lui, de réaliser, mais hélas, la RDC a eu une série des rois fainéants et faignants  qui passeront leur temps à remplir leurs poches sans regarder droit devant sur les structures d'un pays en déliquescence.

 -Kabila serait-il tenté de placer des marionnettes qui lui assurerait exile paisible voir un éventuel retour à la Poutine?-

Entres autres autres sorties, tout en veillant à ce que un de ces proches, une marionnette à la courbette facile s'engage pour un "cloonage politique" sans lendemain, Kabila serait aussi tenté de vouloir céder sa place à l'un de ces proches, un membre de sa famille qui passerait toutes les étapes de l'élection présidentielle tout en égrainant sur son passage des billets verts qui pousseraient à son élection face à une opposition plus que divisée qui serait en crise d'un candidat, en l'absence de Tshisekedi qui ferait le poids contre les Kabilistes Les choses auraient pu se dérouler autrement si seulement si son détracteur, celui la même à qui  serait revenu le fauteuil présidentiel était en parfaite forme pour revendiquer ces droits de préférence contre un usurpateur.Dans tous les cas, si il y a un candidat qui s'en irait sans espoir de retour, c'est Kabila; dès par les démons de l'impopularité qu'il s'est maladroitement attirée et son manque de communication. Il y a surtout ces réactions violentes contre une opposition qui ne pouvait point l'inquiéter ni l'arracher de son siège.

-Si, non, comment le pousser à prendre la route de l'exile?

 

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Suite

Partira, partira pas?

Mais où devrait-il se rendre où il serait en liberté, sans inquiétude de quelques poursuites que ce soient?

Ce constat et en meme temps question serait à la base d'un vas et viens hésitants derrière les barreaux d'une petite ou dernière surface de gesticulation de recherche de voie de sortie stratégique pouvant lui assurer une quelconque survie tout court ou une survie politiphysique, en termes claires, une liberté des mouvements.Cette non inquiétude n'est possible qu'à l'issue d'une vie ou d'un mandat irréprochable. Est-ce le cas pour Kabila qui a brillé par des brutalités inutilement criminelle. Le Président sortant en serait conscient et redouterait des poiursuites.Ainsi donc, il ne serait pas pret de partir?

Il serait aussi pret de partir car il se sait condamner à cèder le pouvoir au regard de la constitution. Mais hélas qu'est-ce qui l'empecherait de tripatouiller?

Rien, il suffirait de passer par la voie légale en corrompant tout son monde. Cependant, l'on s'interroge sur le culot et sa source d'en arriver là ou d'essayer de briser le mur de protestations pour braver celui de l'impopularité afin de déboucher sur une imposition de sa candidature?

Ayant vu, côtoyer et goûter aux délices du crime, pour imposer son maintient, il se pourrait qu'il ose, qu'il tâte encore la force de la résistance populaire pour y aller de nouveau, au cas ou la peur provoquerait le recule de la population. Autrement dit, rien ne l'arreterait à faire ou ne pas faire avec les prolongations ni d'éssayer de mater les foules pour enfin constater qu'il n'aura que réussit à gagner un peu de temps avant de disparaître dans la poubelle des histoires tyranniques d'une politique royalement médiocre!

Dossier à suivre en rédaction...

 

 

 

PARTIRA PARTIRA PAS "SUITE"

 

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