BRAS DE FER ROUBLE-EURO-DOLLAR
Dollar contre Rouble
Parce que l'Europe et les États Unis tiennent la Russie à la gorge et l’étrangle économiquement, celle-ci se débat à desserrer l’étau en s’unissant à ses partenaires. Elle se trouve depuis à la recherche de nouvelles stratégies qui la détacheraient totalement du billet vert. En attendant, l'étranglement provoque des passages d'asphyxie économique. En appliquant des sanctions, la Russie n'hésiterait pas à se débattre pour desserrer l'étreinte, elle serait même prête à pactiser avec le "Diable", pourvu que "ton ennemi soit aussi mon ennemi". Cela étant, l'union de deux "amis de raison", "mariage en blanc" ou "mariage d'intérêt", affaire de "donner et de recevoir" en échange de service c'est ce qui se prénomme:"coopération" qui peuvent à certains moments, déraillais et se transformer en associations de malfaiteurs, en terrorisme, braquage et autres forfaits dont les buts obscures peuvent s'orienter vers différentes sortes de banditismes dont le banditisme d'état sous camouflage, masque et yeux bandés. Comme quoi, personnes ne sait `quels diables se vouer?
C'est désormais "suspect" pour les "étrangleurs économiques" que deux "parias" se fassent la cour, du coup, les batteries sont mises en branle, les antennes se dressent, les grandes yeux et oreilles paraboliques tournent fou cherchant à intercepter quelques messages, les satellites-espions scrutent en permanence...
C´est justement cela que souhaitent les états isolés, ceux qui étouffent parce que se trouvant sous des sanctions économiques. Depuis, l'objectif commun est de sortir de "la congélation forcée", tenir, revenir dans l'actualité internationale tant bien que mal, occupé les 1ères places sur le podium politique et par la même, provoqué la curiosité et pourquoi pas la compation, l'union des victimes. Pyongyang et Moscou se rapprocheraient pour coopérer, l'une et l'autre chercherait à pomper son gaz à travers un pipeline-trans vers la D'orée du Sud, bien entendu, en passant par celle du Nord. Intensifier, augmenter ses exportations de gaz, pourrait être une des raisons d'envisager l’invitation de Kim Jong Un à Moscou, ce qui serait sa 1ère sortie à l'étranger depuis 2011 qu'il dirige la Corée du Nord.
Ce sont donc là, comme partout ailleurs entre états, des "relations de profits" autrement dit , d'échange, de coopération, un mariage d'interet; Tenez:" la Corée du Nord se trouverait sur le banc d'accusé pour crime contre l'humanité, par une résolution des Nations unies devant la justice internationale, c'est justement ici que Moscou ,interviendrait en usant de son droit de veto au "CSO", conseil de sécurité de l'Onu qui viendrait à la rescousse de Pyong yang. L'invitation lancée par Vladimir Poutine serait, d'après Asahi Shimbun, le quotidien japonais, pour le moi de Mai 2015, dans le cadre des commémorations de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Russie.
Serait-ce là une occasion pour Pour Vladimir Poutin d'inviter la Corée du Nord à devenir membre du BRICS ce club financier qui a pour membre:"le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l’Afrique du Sud" comme dernier venu au groupe"dont le sigle prendra un "S" en date du 14 avril 2011 et qui aimerait un jour damer le pion au dollar, encore monnaie de référence devenu depuis, celle des asphyxies financières et de chantages pour contrer des états "récalcitrants".
À ce propos, la Russie est l'un des états se trouvant sous sanctions économiques pour son occupation ou son rôle de division qu'elle a joué en Ukraine. La Russie se débat ensemble avec ces partenaires du BRICS pour justement déjouer l'étranglement économique qui commence à affaiblir l'économie Russe. Qu'a-elle comme stratégie pour déjouer l'étreinte asphyxiante des États unis?
Dans tous les cas, il n'y a que la lutte monétaire qui pourrait avoir raison de l'étranglement. Vladimir Poutin adores et déjà exprimer l'intention de frayer un passage à la monnaie nationale, le rouble dans les payements des factures et tarifs entre ces partenaires y compris la Chine. La guerre engagée contre le dollar est lancée et Vladimir Poutin semble déjoué les pièges en réalisant un mai un gros contrat avec la Chine, celui c est évalué en milliards ce qui est une victoire non négligeable car,cette stratégie qui consiste à s'éloigner du dollar est porteuse de fruit. La Russie fixera désormais son tarif en rouble pour les matières premières énergétiquement pour les transactions qui pourront se faire en monnaies régionales ainsi que la création de son propre système des tandis que la chine, après avoir accumuler une grande réserve du billet vert serait prêt à abandonner cette pratique. arrivera à la conclusion qui consiste en l'éjection de la monnaie américaine comme monnaie de réserve internationale. Enfin comme nous pouvons le constater, les choses bouges et son orienté vers une restructuration du système d'échanges et, de payement, de fixations des prix, ainsi bien que de monnaie de référence et d'échange.
Dans un premier temps, la Russie et la chine sont unanime et convaincu qu´ìl faille rompre avec la suprématie américaine dans le domaine économique. toute fois, le BRICS est loin d'avoir réussi son objectif car, en cette période de guerre financière, le rouble aura perdu en poids et en valeur vis à vis du billet vert. Loin de désespérer, Moscou , la chine et les autres partenaires se démènent pour redoubler de stratégie à même de provoquer l'indépendance économique en misant sur le gaz, le pétrole, en faisant fi à la monnaie américaine. À noter que le front du refus de la monnaie américaine connaît d'autres adhérants tel l'Iran qui depuis quelques années mis sur pied est en train d'organiser, depuis 2004, une bourse du pétrole indépendante par rapport au dollar.
Il s'agit aujourd'hui de renoncer au billet vert dans le commerce du pétrole et du gaz. La Russie doit substituer aux prix en dollars son propre système de formation des prix des matières premières énergétiques en roubles. Des accords entre des grandes sociétés de gaz et pétrole entre partenaires sont signé dans le but de trouver des voies et moyens de négliger la monnaie américaine.Entre les trois grands partenaires Chine, Inde et Moscou des programmes très ambitieux de constructions de gazoduc et livraisons annuelles en milliards de mètres cubes de gaz. L'import-export dans la région a pour objectif de casser la concurrence des pétrodollars, Canada, États unis et Qatar qui faisaient des bonnes affaires en fournissant l'Asie.
La remise des aiguilles à zéro, sans le dollar américain est une guerre qui risque de perdurer avant de donner des fruits. C´est une guerre ouverte entre les États Unis et la Russie, Tous les moyens sont bons pour saboter, freiner toutes tentatives de Moscou à se libérer. Il y va de la survie de la monnaie américaine qui résiste encore tandis que le rouble "perd des ailes" du moins pendant cette période ou les premiers jouent sur le robinet et la valeur du brut bien entendu contre la Russie quitte à la mettre à genoux. De son coté, la Russie applique toujours et encore la formule d'union pour faire la force qui va contrer les attaques répétées des états Unis. Cela étant, Moscou et pyongyang auront compris qu'en se mettant ensemble, ils réussiront un jour à mettre fin à toute forme de dépendance.
Nikolai Malichevski aurait-il raison en titrant son analyse :good bye dollar? En attendant, l'objectif reste encore à atteindre si, comme le souligne le président russe, le pays accepte de faire des sacrifices. En attendant, il refuse de se plier aux intimidations et menaces et demande aux russes d’être prêt à affronter certaines difficultés. Vladimir Poutine reste donc de marbre.
Kaisa Ilunga
C´est Comme si un malheur n'arrivait jamais seule pour comprendre que l'heure de l'union entre la Corée du Nord et Moscou contre un ennemi commun, Washington avait, depuis longtemps, sonnée. La Corée hésitera-t-elle a saisir la perche tendue par Moscou?
A elle seule, la Corée arrivera-t-elle malgré les menaces à l'endroit de Washington et les menaces de coups de mortels , arriverait-elle-seule sans renfort à mettre à genoux le géant américain? Et c´est justement ici qued tout rapprochement avec Moscou ne pourra être que bénéfique pour tout les deux et voir doublement bénéfique car Moscou ne s'unira pas à elle les mains vides, il y a des volumineuses enveloppes que la Corée du Nord soutirera de cette relation, facture de son sole qui permettra le passage des trans pipelines de gaz russe. Mariage de raison don
Nouvelle épisode entre Washington et Pyongyang. du Nucléaire au Cyber il n'y aura qu'un seul pas à franchir. Ce qui semblait être trêve entre les deux ennemis n'aura pas durer longtemps. Les deux partis lèvent le ton. Pyong yang est accusé d#infiltration dans les circuits informatiques privés de Sony. Le but de l'incursion serait tout simplement de saboter cette dernière société. La pomme de discorde:"L'interview qui tue" Le Réseau internet de PG est totalement dépendant de la chine. Deux jours "lundi pendant 9 heures et mardi pendant quelques heures" de coupure d'internet en représailles contre l'attaques des studios Sony. C´est ici qu'intreviennent une série de questions analogues à celles que se posent les États Unis et la CIA:
Qui est l'auteur des coupures internet?
Est-ce la Corée elle même?
Ce qui est de prime à bord, impossible du moins dans le cas présent
Est-ce le cadeau de Noel que les États Unis , en représailles à l'attaque dont serait responsable la Pyongyang?
Pour l'heure, personne ne veut endosser les responsabilités de cette coupure sèche si ce ne sont les États Unis qui ne veulent point se démasquer? La Corée du Nord est elle responsable du piratage des studios Sony, les Hackers avaient proférer des menace. Toutes fois, des observateurs avertis, pensent que les États Unis seraient le saboteurs indiqués de cette rupture d'internet dont Pyonggyang a été victime. Il y aurait eu une demande de coopération de la part de Washington à la chine, canal obligé des lignes internet de la Corée du nord, (Tandong aux 1970) donc ils peuvent couper internet 1 1400 `1 1500 branchements. La Corée du Nord se serait rendue responsable du sabotage des studios sony voici 1 mois, accusation faite par la CIA qui est à prendre avec des pincettes d'oú, on s'interroge sur le recourt d'une tactique de provocation afin de tourner de plus en plus le robinet financier des sanctions à l'intention de la Corée que Washington aimerait mettre à genoux.; La raison est bien simple, Pyongyang n'a jamais voulu quitter le club des nucléaires comme le lui a toujours et encore demandé Washington ce qui explique pourquoi le torchon brûlera encore entre les deux capitales.
The Interview, qui est un film , une comédie policière d'assassinat de Kim Jong un n'a pas du tout plu à la Corée et à son président qui menaceront d'attaques de toutes sortes, contre les cinéphiles et les salles. Prévu pour Noël ou avant , celui ci sera projeté dans dans quelques centaines de salles, juste qpr`s qu les encouragements de Barack Obama d'ignorer les menaces du dirigeant coréen qui réagira par des injures à l'endroit du président américain qu'il traitera de singe.
Pyongyang, Kim Jong-Un, a nié toute responsabilité en rapport avec l’attaque.
L´étau se resserre, Pyongyang suffoque économiquement
Des nouvelles sanctions
La riposte américaine ne s'est pas faite attendre, quelques jours après la projection du film "The Interview", dans une centaine des salles de cinéma, au lendemain de la réaction injurieuse de Pyongyang contre le président américain Barack Obama,voici que le décret tombe tel couperet. Nos prévisions futuroscopiques faites voici quelques jours coïncident avec la réalité de ce 03 décembre 2015. La recette est désormais connue, elle consiste à serrer de plus en plus l'étau économique avec des sanctions ciblées à même de donner le coup de grâce à l'économie d'un état récalcitrant.
C´est désormais chose faite , la Corée du Nord vient une fois de plus d'en faire l'amère expérience. déjà sous le coup des sanctions économiques qui remontent à la période du vivant du père de l'actuel dirigent dans l'affaire du nucléaire de ce dernier pays, voilà que des nouvelles sanctions sanctions viennent de s'ajouter aux premières. Les nouvelles sanctions sont prises contre dix responsables du régime et trois organisations et entreprises.
Le masque est donc tombé et permet en même temps de deviner qui était ou qui serait à la base de la brusque coupure internet qu'a connu la Corée du Nord pendant deu jours et ce, pendant des heures?
Il s'agirait là que d'une poursuite d'une vieille affaire du nucléaire coréen, transformée sous des soupçons de provocations dans une nouvelle raison, tout à fait valable et non prouvée d'une Corée du Nord qui serait à l'origine, selon la CIA dont les accusations ne font pas l'unanimité, responsable du piratage, autrement dit, de la Cyber attaque contre le studio de cinéma Sony Pictures et bien entendu des menaces faites contre les salles et spectateurs. Comme on pouvait s'y attendre, la médiatisation de l'incident a provoqué un intérêt croissant chez les cinéphiles qui se sont rendus nombreux dans les salles oú le film était projeté, augmentant par la même sont succès.
Le décret, selon le trésor américain dans son communiqué, qui est entrée sûrement en application lors de sa promulgation par Barack Obama, concerne deux entreprises évoluant dans le domaine militaire et la principale agence de renseignement nord coréenne (RGB).Des sanctions qui visent la Komid, l'usine de fabrication d'armes dont les avoirs se trouvant dans les banques américaines sont gelés et une mesure d'isolement verrouillant toute coopération avec cette dernière.
Les nouvelles sanctions seront-elles à même de mettre la Corée du Nord à genoux et provoquer chez celle ci une prise de conscience à adopter un profile bas?
Connue pour son arrogance et sa fierté, la Corée du Nord qui a du reste traité Obama de singe, va à coup sûre riposter avec d'autres injures et si elle en avait les moyens, elle aurait riposté avec des mesures de rupture de toute sortes de relations diplomatique et de coopération qui n'existent pas entre les deux états. Connue pour son entêtement, elle menacera à son tour les États Unis d’éventuelles représailles.
Les États Unis seraient-ils entrain d'étudier d'autres stratégies, pareilles au scénario du film dont il est question, un putsch par exemple, afin de venir à bout de Pyongyang qui représente une sérieuse menace pour Washington?
Pourquoi pas car les États Unis rodent toujours autour de la Corée du Nord avec une présence militaire qui a du reste procédé à des manœuvres militaires dans le but de brandir des muscles et un doigt menaçant à la Corée du Nord. En outre, Washington compte une forte présence militaire dans la région.
Une fois de plus, la monnaie et les banques américaines sont et ont toujours été en tout temps, des instruments stratégiques dissuasion très redoutables et aux conséquences très fâcheuses et désastreuses pour des économies des états sous sanctions qui ont du mal à éviter des situations de crises aiguës. Aussi, les états se trouvant sur la table de "tortures économiques" se battent et se débattent à trouver un diagnostique dµesquive de préférence, une politique monétaire indépendant de dos tourné contre le dollar américain.
Chose difficile qui explique la difficulté d’éviter une guerre financière qui couve depuis bien longtemps. Cette guerre contre la suprématie monétaire s'annonce virulente à tel point que la chine, membre du BRICKS ne mise pas désormais sur des stockages de s masses du billet verts qui ne serait pas désormais une des méthodes les plus fructueuses. Cette première puissance mondiale, en coopération avec d'autres membres dont la Russie cherchent, imaginent, pensent à la pilule magique qui guérirait cette maladie virulente que provoque la dépendance d'un billet vert, monnaie de référence et des dépôts des avoirs dans les banques américaines, fragiles en temps de crise avec Washington qui ne manque point d'y faire recourt avec des menaces de gèles et sanctions.
Rompre avec cette dépendance en créant des clubs dans lesquels le rouble serait la monnaie d'échange et pourquoi pas de référence...
Comment remplacer le dollar, ce diable vert?
-Telle est la question d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
Pendant que les les partisans de la mort d'un billet vert à réduire en "papier chiffon, encore mieux, à sa plus simple valeur, en papier hygiénique" s’attelle à trouver la stratégie miracle des transactions en club fermés, Washington et les stratèges, Bourreaux économistes" peaufinent et travaillent jours et nuits tels des hacker au blindage de la monnaie américaine afin qu'elle s'impose et écrase tel un bulldozer.
À noter que l'une des plus forte, en l’occurrence, la monnaie européenne quoi qu'en empoignade compétitive avec le dollar, préférerait l'avoir comme compagnon et protagoniste des "bras de fer financiers compétitifs et constructifs". Les deux monnaies qui se bousculent et s'assemblent seraient prêtes à s'unir en cas de menaces d'un putsch financier ou tout simplement monétaire d'un prétentieux rouble qui a encore du mal à s’imposer sur le marché mondiale. Certes les autres membres du BRICKS ont compris la nécessité d'unir les efforts. Mais hélas, car il y a un mais persiste...ce que la monnaie Russe n'a pas encore convaincu. Elle connaît des attaques répétées du dollar américaines puis viennent s’abattent des conséquences des sanctions économiques conséquences, elle tangue, chancelle et suit une courbe en dents de scies, l'économie de l'état est étranglé, la victime suffoque financièrement parlant.
Toutes fois, il n'y a pas de marchands de désespoirs à la voir un jour se rétablir et prendre du poids et de la valeur mais ce jour jour là, ne semble, malheureusement pas très proche. Quand bien même, Les États Unis et l'Europe seraient prêt à défendre l’agression monétaire avec griffes et sanctions et si ces mesures ou tortures économiques ne suffisent pas à mettre à genoux, hésiteraient-ils à recourir aux armes pour des injections en surdose de´une soit disant démocratie monétaire qui est en réalité une suprématie dont les Étals Unis et l'Europe jouissent en maîtres absolus!
"FUTUROSCOPIE DE POLITIQUE INTERNATIONALE 2010 2018"
Á PARAÎTRE CHEZ DICTUS PUBLISHING
Kaisa Ilunga
L´étau se resserre, Pyongyang suffoque économiquement
Des nouvelles sanctions
La riposte américaine ne s'est pas faite attendre, quelques jours après la projection du film "The Interview", dans une centaine des salles de cinéma, au lendemain de la réaction injurieuse de Pyongyang contre le président américain Barack Obama,voici que le décret tombe tel couperet. Nos prévisions futuroscopiques faites voici quelques jours coïncident avec la réalité de ce 03 décembre 2015. La recette est désormais connue, elle consiste à serrer de plus en plus l'étau économique avec des sanctions ciblées à même de donner le coup de grâce à l'économie d'un état récalcitrant.
C´est désormais chose faite , la Corée du Nord vient une fois de plus d'en faire l'amère expérience. déjà sous le coup des sanctions économiques qui remontent à la période du vivant du père de l'actuel dirigeant dans l'affaire du nucléaire de ce dernier pays, voilà que des nouvelles sanctions sanctions viennent de s'ajouter aux premières. Les nouvelles sanctions sont prises contre dix responsables du régime et trois organisations et entreprises.
Le masque est donc tombé et permet en même temps de deviner qui était ou qui serait à la base de la brusque coupure internet qu'a connu la Corée du Nord pendant deux jours et ce, pendant des heures?
Il ne s'agirait là que d'une poursuite d'une vieille affaire du nucléaire coréen, transformée sous des soupçons de provocations dans une nouvelle raison, tout à fait valable et non prouvée d'une Corée du Nord qui serait à l'origine, selon la CIA dont les accusations ne font pas l'unanimité, responsable du piratage, autrement dit, de la Cyber attaque contre le studio de cinéma Sony Pictures et bien entendu des menaces faites contre les salles et spectateurs. Comme on pouvait s'y attendre, la médiatisation de l'incident a provoqué un intérêt croissant chez les cinéphiles qui se sont rendus nombreux dans les salles oú le film était projeté, augmentant par la même sont succès.
Le décret, selon le trésor américain dans son communiqué, qui est entrée sûrement en application lors de sa promulgation par Barack Obama, concerne deux entreprises évoluant dans le domaine militaire et la principale agence de renseignement nord coréenne (RGB).Des sanctions qui visent la Komid, l'usine de fabrication d'armes dont les avoirs se trouvant dans les banques américaines sont gelés et une mesure d'isolement verrouillant toute coopération avec cette dernière.Les nouvelles sanctions seront-elles à même de mettre la Corée du Nord à genoux et provoquer chez celle ci une prise de conscience à adopter un profile bas?-Connue pour son arrogance et sa fierté, la Corée du Nord qui a du reste traité Obama de singe, va à coup sûre riposter avec d'autres injures et si elle en avait les moyens, elle aurait riposté avec des mesures de rupture de toute sortes de relations diplomatique et de coopération qui sont, depuis belle lurette, au congélateur donc inexistantes. Connue pour son entêtement, elle menacera à son tour les États Unis d'eventuelles représailles.
Les États Unis seraient-ils entrain d'étudier d'autres stratégies, pareilles au scénario du film dont il est question, un putsch par exemple, afin de venir à bout de Pyongyang qui représente une sérieuse menace pour Washington?
Pourquoi pas car les États Unis rodent toujours autour de la Corée du Nord avec une présence militaire impressionante qui ne fait pas peur à Pyongyang qui serait prête à la riposte. En attendant, les deux camps s'observent, s'épillent en chiens de faiences, les deux camps ont procèdé à des manoeuvres militaires dans le but de brandir des muscles et un doigt menaçant, l'un à l'autre.
Une fois de plus, la monnaie et les banques américaines sont et ont toujours été en tout temps, des instruments stratégiques de dissuation très redoutables mais aussi de chantage aux conséquences très facheuses et désastreuses pour des économies des états sous sanctions qui ont du mal à éviter des situations de crises aigues. Aussi, les états se trouvant sur la table de "tortures économiques" se battent et se débattent à trouver un diagnostique d'ésquive, de préférence, une politique monétaire indépendante de "dos tourné" et à la limite, si ils en avaient les moyens, de mise en Quarantaine d'une monnaie devenue instrument de torture économique cotre des états se voulant libre dans leur choix de gouvernement. Le dollar américain, c'est désormais, contre lui que des nations se battent afin qu'il perde toute notoriété et valeurs de références. Chose difficile qui explique la difficulté d'eviter une guerre financière qui couve depuis bien longtemps. Cette guerre contre la suprématie monétaire s'annonce virulente à tel point que la chine, membre du BRICKS ne mise pas désormais sur des stockages de s masses du billet verts qui ne serait pas désormais une des méthodes les plus fructueuses. Cette première puissance mondiale, en coopération avec d'autres membres dont la Russie cherchent, imaginent, pensent à la pilule magique qui guérirait cette maladie virulente que provoque la dépendance d'un billet vert, monnaie de référence et d'échange. Mais alors, comment expliqué que les leçons du passé des sanctions économiques n'aient pu mettre la puce à l'oreille de tous les états victimes?
j'imagine que la stratégie de dépôts des avoirs dans les banques américaines est inévitables afin d'éviter des des choques de dévaluations mais aussi et surtout de pouvoir régler des factures sur place sans y perde des plumes dans des opérations d'achats de devises et afin d'éviter toutes sortes de coûts dus aux transactions coûteuses...enfin des questions de crédibilités et d'autres encore...Seulement voilà, ces avoirs ne sont pas du tout v´erouillés encore moins protégés par une quelconque loi; ce qui explique le recourt tactique des états Unis juste par un simple décret du président américain, voila que des milliards appartenant à des sociétés ou états, toutes natures d'affaires confondues soient passible de g°ele totale et ce, du jour au lendemain et comme si cela ne suffisait pas, le décret ira jusqu'à l'assaisonement complet de ce gèle avec des sanctions privant et provoquant toutes cessations de coopération avec les dits états et bien entendu, les socie´tés de ces derniers.
Rompre avec cette dépendance en créant des clubs dans lesquels le rouble serait la monnaie d'échange et pourquoi pas de référence...
Comment remplacer le dollar, ce diable vert?
-Telle est la question d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
Pendant que les partisans de la mort d'un billet vert à réduire en "papier chiffon, encore mieux, à sa plus simple valeur, en papier hygiénique" s'attèle à trouver la stratégie miracle des transactions en club fermés, Washington et les stratèges, Bourreaux économistes" peaufinent et travaillent jours et nuits tels des hacker au blindage de la monnaie américaine afin qu'elle s'impose et écrase tel un bulldozer.
À noter que l'une des plus forte, en l'occurence, la monnaie européenne quoi qu'en empoignade compétitive avec le dollar, préférerait l'avoir comme compagnon et protagoniste des "bras de fer financiers compétitifs et constructifs". Les deux monnaies qui se bousculent et s'assemblent seraient prêtes à s'unir en cas de menaces d'un putsch financier ou tout simplement monétaire d'un prétentieux rouble qui a encore du mal à s'imposersur le marché mondiale. Certes les autres membres du BRICKS ont compris la nécessité d'unir les efforts. Mais hélas, car il y a un mais persiste...ce que la monnaie Russe n'a pas encore convaincu. Elle connaît des attaques répétées du dollar américaines ensuite, viennent s'ajouter des conséquences des sanctions économiques conséquences, elle tangue, chancelle et suit une courbe en dents de scies, l'économie de l'état est étranglé, la victime suffoque foncièrement parlant.
Toutes fois, il n'y a pas de marchands de désespoirs à la voir un jour se rétablir et prendre du poids et de la valeur mais ce jour jour là, ne semble, malheureusement pas très proche. Quand bien même, Les États Unis et l'Europe seraient prêt à défendre l'agrssion monétaire avec griffes et sanctions et si ces mesures ou tortures économiques ne suffisent pas à mettre à genoux, hésiteraient-ils à recourir aux armes pour des injections en surdose dune soit disant démocratie monétaire qui est en réalité une suprématie dont les Étals Unis et l'Europe jouissent en maîtres absolus!
"FUTUROSCOPIE DE POLITIQUE INTERNATIONALE 2010 2018"
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Kaisa Ilunga
La Russie ne laisse pas faire et prend à témoin le monde. Malgré le fait que le rouble a perdu 41% de sa valeur par rapport au dollar, le gouvernement russe a recapitalisé coup sur coup les numéro deux et trois du secteur bancaire, VTB et Gazprombank. Ces deux groupes bancaires avaient été au cours de l’été ajoutées à la liste noire des entreprises sanctionnées par les États-Unis. Ces injections, prévues, précèdent un vaste renflouement du système financier mis sur pied d’urgence pour contrer les effets de la crise monétaire sur les comptes des établissements bancaires. Poutine a donné « deux ans » aux Russes pour s’en sortir.
Le nouveau soutien de l’État est prévu pour début 2015 et chiffré à 1 000 milliards de roubles (14 milliards d’euros). Ses bénéficiaires doivent être connus d’ici à la mi janvier-2015. D’ores et déjà, VTB s’est vu verser 100 milliards (1,4 milliard d’euros) et doit recevoir au premier trimestre 150 milliards de roubles supplémentaires. Il existe une filiale en France.
Gazprombank, établissement créé par le gazier Gazprom en 1990 pour financer la production d’hydrocarbures, devenue une banque généraliste complète avec quatre millions de clients, est de son côté recapitalisée à hauteur de 40 milliards de roubles (570 millions d’euros).
La Russie n’est pas la Libye !
Merkel s'immisce dans les législatives grecques et suscite la controverse
La chancelière Angela Merkel, le 18 décembre 2014 à Bruxelles - Thierry Charlier AFP
© 2015 AFP
La gauche radicale arrive, l'Europe se doit de préparer un cercueil pour la Grèce menacée de jeter l'éponge, autrement dit, de quitter la zone euro. il y a des fortes chances que l'opposition radicale d'Alexis Tsipras renverse la valeur aux élections législatives du 25 janvier et devenir par la même le chef du gouvernement.
Si les prévisions futuroscopiques correspondent avec les réalités d'une victoire écrasante, conséquences découlant des mesures d'austérité qui étouffent les votants grecs dans la gestion des ménages, la Grèce abandonnera purement et simplement la rigueur budgétaire, pilule amère imposée.Entres autres ruptures avec l'actuelle ligne de comportement, le non remboursement des dettes du pays. D'après l'hebdomadaire Der spiegel, il y a donc inquiétude chez les conservateurs allemands avec en tête, la chancelière et son ministre des finances, Wolfgang Scaüblequi serait pr^tes à commettre le péché de l'immiscion dans les affaires privées de la Grêce. La démarche consisterait d#utiliser les moyens forts en faisant pression à visage découvert sur les électeurs grecs ou sur M. Tsipras; dores et déjà cette méthode ne rencontre pas l'adhésion de la coalition et d'autres partis allemands. Parce que la Grèce a jusque là rempli ces engagement vis à vis de ces trois créanciers qui sont la Banque Centrale Européenne, l'Union Européenne, et le Fonds monétaire international, le porte parole du gouvernement, interrogé par l'AFP conclura que la Grèce va continuer à l'avenir à remplir ses obligations.
Enfin, le ton est monté d'un cran du coté du parti de la chancelière avec la mise en garde faite dimanche par un de ces membres, Christian Baümler en ces termes:«en cas de sortie de l'euro, les dettes (de la Grèce) ne pourraient pas être remboursées, et l'Allemagne porterait une part significative du fardeau».
Pour le quotidien Die Welt, l'Allemagne se mêle indirectement dans la campagne grecque ce qui est une une erreur et un risque "Avec ce scénario de menace (...), le gouvernement se mêle indirectement de la campagne (électorale) grecque. C'est extrêmement risqué et c'est une erreur".
Cette méthode, selon Die Welt, provoquerait une impopularité vis à vis de l'Allemagne et risquerait d'avoir des effets contraires en provoquerait une montée de popularité de Alexis Tsipras. il y a aussi des risques de provoquer une grande panique et par là même, une ruée vers les guichets des banques pour des retraits de dépôts.
Kaisa Ilunga
«Cette menace est susceptible de renforcer encore d'avantage le mécontentement en Grèce vis-à-vis des Allemands et d'aider ainsi Alexis Tsipras dans sa campagne. (...) Cela pourrait aussi nourrir l'instabilité en Grèce et même conduire» à un mouvement de panique s'accompagnant d'une ruée vers les guichets des banques pour des retraits de dépôts, poursuivait Die Welt.
Sur place en grèce, le parlement a confirmé ce calendrier électorale, la date du 25 janvier coïncidera avec les élections législatives anticipées qui risquent d'après les sondages, de donner la victoire à la gauche radicale, Syriza. Une victoire dévastatrice pour la monnaie européenne qui encoure un coma si l'Espagne et l'Irlande l'abandonnait.
- «Coup de bluff» -
En théorie, aucun mécanisme ne prévoit la sortie d'un pays de la zone euro. Mais à Berlin, on imagine que si la Grèce ne remplissait plus ses engagements, la BCE pourrait restreindre les possibilités de refinancement des banques grecques au point de contraindre Athènes à réintroduire la drachme.
Les sociaux-démocrates (SPD), membres de la «grande coalition» au pouvoir à Berlin, ont publiquement contesté la démarche attribuée à Mme Merkel.
Ainsi, le vice-président du groupe SPD au Bundestag (la chambre basse du parlement), chargé de l'euro, a estimé que les conservateurs avaient, seuls, été à l'origine de cette «fuite». «Un changement de ligne du gouvernement ? Plutôt une grave erreur de la CDU», a-t-il commenté sur son compte twitter.
Dès samedi, le secrétaire d'Etat social-démocrate aux Affaires européennes, Michael Roth, avait pris ses distances. «La Grèce est membre de la zone euro. Et doit le rester», avait-il affirmé via son compte Twitter.
La Gauche radicale allemande (opposition), a sans surprise tiré à boulets rouges sur la chancelière. «Avec ce type de chantage public, on veut déstabiliser la Grèce avant les élections», a jugé le président de Die Linke, Bernd Riexinger.
«Les nouvelles conjectures sur l'euro sont une immixtion pernicieuse et irresponsable dans la liberté de vote en Grèce. C'est ainsi qu'on nourrit le nationalisme», a renchéri le porte-parole des députés Verts au Parlement européen, Sven Giegold, sur son compte Twitter.
Le parlement grec a annoncé mercredi sa dissolution et a confirmé l'organisation le 25 janvier d'élections législatives anticipées pour lesquelles la gauche radicale, Syriza, est donnée favorite par les sondages.
Une telle victoire de Syriza marquerait l'amorce d'un «changement nécessaire» en Europe qui entraînerait notamment l'Espagne et l'Irlande sur la même voie, a pronostiqué samedi son chef, Alexis Tsipras, pourfendeur des politiques d'austérité imposées à la Grèce par ses créanciers.
Posted on jan 4, 2015 @ 8:04
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