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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
27 janvier 2015

GRECE: Tsipras l'anti austérité est élu 1er ministre "Suite"

 La 1ère fausse note Euro-Grèce

 

 

  30.01.2015

 

La 1ère fausse note Euro-Grèce

 

 La Grèce et L’euro fort ou la difficile cohabitation

 

L’harmonie ne passera que par le raccordement des volons. Aussi longtemps que la Grèce campera sur la position liée aux promesses d’avant l’élection, le courant ne passera pas entre elle et l’euro. Ce désaccord de conception et de définition des priorités d’un état et ceux de l’euro-fort, plus les méthodes en application pour le contrôle du respect des règles, tels sont les sujets qui auront à produire plus d’étincelles provoquant un cour-circuit menaçant entre les deux partis. Il va donc valoir user de patience pour que les deux partis raccordent les violons qui grincent. Ce qui est tout à fait logique du fait la politique du nouveau venu est en incompatibilité avec celle de l’euro quant l’on sait que la Grèce n'a pas réussie à suivre le régime alimentaire et dépensier que la Troïka lui a imposé. Rien ne va plus, rien n'ira aussi longtemps que personne ne ferra le pas du rapprochement. Généralement dans ces genres de relations monétaires entre créanciers et quémanda ires, dans le cas présent, endetté et créanciers, l'égalité n'existe pas. Il y a la soumission et la perte de sa dignité et la récalcitrante et la perte des crédits consentis donc un marché de dupes qui a des règles draconiennes et des obligations désobligeantes. Si jamais la communication ne passe pas et que la Grèce s'entête à ne plus accepter le contrôle financier, son appartenance à l'Euro redeviendra problématique.Son souhait véritable au moment présent ou Tsipras prend les commandes de l’appareil de l'état serait de quitter précipitamment le train trop rapide de l'austérité suffocante.  

 

                                                                      Alexis Tsipras a promis au peuple grec de renégocier la dette de l'Etat et de mettre en Alexis  Tsipras compromis entre les promesses d'avant l’élection et l'entrée en fonction qui  coïncide  avec le rappel à l'austérité et le passage en revue des contrôleurs des états et banques, Troika et consorts venus imposé le rythme de la marche à suivre pour prétendre avoir accès au prêt d'argent restant et dont le repayement ne connaîtra pas ou peut être bien un jour, une sorte de rallonge de temps de repayement. Dans un 1er temps, Tsipras va maintenir le ton mais alors pas au sacrifice de la "bouée financière de sauvetage!" IL lui faut cet argent maintenant et tout de suite car dans un mois, il va falloir évoquer la question ayant trait au budget. Pour l’heure, Tsipras est confronté à plusieurs questions, des véritables casses tête qui vont à coup sûre et qui commencent d’ailleurs, à peine élu, a empoisonné l’atmosphère au sein de l’euro. C´est donc désormais, une  relation  en dents de scies qui se trouvent, à l’heure actuelle dans une phase « d’observation méfience » entre un mauvais élève et son professeur, « donneur de leçons », en l’occurrence, l’euro.

 Vont-ils frôler le divorce ?

 La Grèce ne risque t-elle pas de se retrouver en isolation, en quarantaine ?

 La Grèce ne risque t-elle pas de recourir à sa défunte et vieille monnaie la « drachme »  quoi que la chose soit en elle-même difficile et très périlleuse ?

 La réponse est un : »oui » trois fois amis alors très risqué et sans solide argumentation et avenir beaucoup plus rose. C´est la dame en acier inoxydable qui a du reste essuyé autant d’injures et de comparaisons à la Hitler, la fétichiste et défenseuse de l’euro-monnaie qui rythme la sarabande de l’austérité dans l’ombre et d’ailleurs, elle s’est en quelque sorte trahie avant des élections qui donnaient victoire au Syriza en menaçant de descendre dans l’arène en contre campagne contre l’actuel parti c’est de justice que Angela Merkel, retenue par d’autres coalitionnaires qu’elle a manqué de sauter, les poches pleines sans glaive à la main pour faire basculer les faveurs du pronostique. Bien entendu, elle avait bien avant senti le vent de la résistance e de cette jeune génération qui souhaiterait manger goulûment tout et tout de suite sans penser au lendemain et à la menace américaine. Oui la menace du billet vert qui est et peut être pas pour très longtemps, la monnaie de référence dans le monde. Le dollar qui s’affirme et confirme sa suprématie quelque soit le poids de l’euro ni l’écrasement de la monnaie Russe : « rouble » en chute libre précipitée par les sanctions décidées par l’Amér-euro position dans la question ayant trait à la présence de la Russie en Ukraine. Si la Russie traverse des moments très difficiles sur le plan économiques quelque soient des injections de rééquilibrage que le gouvernement administre, c’est dire combien l’étreinte asphyxiante et dure à supporter.

 

 Kaisa Ilunga

 

 

 

Tsipras, le magicien!

Poches Vides, il promet lune, miel et soleil! 

Pour finir, il y a eu plus de peur que de mal à voir ce parti Syriza menacé l'Euro? 

Tsipras, radieux, victorieux, serment prêté sans pose ni levée de main sur la bible mais alors, pas de déclaration tapageuse à voir la Grèce rendre sa bague d'appartenance à l'Euro avec sa politique d'austérité.

Est-ce à présent l'entrée dans la danse d'un gouvernement membre de l'Euro arborant un autre discours, contraire au discours ferme d’Angela Merkel?

Alexis Tsipras est nommé Premier ministre de la Grèce

 

 

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Pourquoi est-ce que cette victoire, avant et après sa confirmation représente et représentait une menace?

Voir la Grèce ne plus respecter le repayement de sa dette, aux différents états et à la banque européenne?

Inquiétude accrue de voir un effet de contagion si jamais comme l'a faussement prévue la dramaturge fétichiste et défenseur de l'euro, de jet d'éponge  en sa qualité de membre?

Jusqu’à présent, le discours est modéré et le nouvel homme fort n'a pas encore hausser le ton si jamais il venait à éssouiller des échecs qui le mettrait dans l'impossibilité d'honorer des engagements faits aux électeurs?

Enfin, le nouveau vainqueur de

#Syriza – Alexis Tsipras : "La Grèce laisse l'austérité derrière elle"

Syriza dit vouloir œuvrer pour la dignité de la Grèce, 40 ans, tout jeune, annonçant la fin de l'austérité sans pour autant savoir qu'elles sont ces armes avec une dette évaluée à 60 % de son PIB, Beaucoup de défis dont le plus difficile est de régler les objectifs avec les injonctions de l'Euro qui sont en contractions avec les siennes propres consistant à ne plus appliquer une politique basée sur l'austérité, il ne manque a de dire que son gouvernement serait prêt pour un dialogue sincère. il aura donc dans sa mallette un plan national et un autre sur un sujet qui aura difficile à trouver une oreille et un cœur prêt à effacer la grosse dette contractée par la Grèce.

 

Grèce: Pour appliquer son programme, Alexis Tsipras va devoir renégocier la dette

 

Il ya donc inquiétude exprimée d’ailleurs par David Cameron tandis que la France par la bouche de François Hollande a salué et invité le nouvel homme fort Grec et « trouble fête ou , redoutable membre » dont la venue s'annonce dérangeant et risque de ressembler à un bras de fer. Alexis Tsipras ressemble à engagera t-il un combat seule contre tous?

Gauche radicale, ce jeune 1er ministre de 40 ans atout de suite composé avec un autre partie comme allié, une coalition qui apporte 13 députés, deux partis qui émettent sur les mêmes ondes d'anti austérité. Les créanciers préfèrent patienter et ne rien brusquer, négocier, afin que les engagements pris par la Grèce par les prédécesseurs de l'actuel ministre soient respectés et ne soient point remisent en question.   Les créanciers, l'UE et FMI, le programme économique du Syriza ne remette en question les mesures d'austérité et une révision, réexamen de la question de la dette publique du pays, estimée à 175% PIB.

Son programme qui ressemble aux promesses de campagne:

Demander à ce que l'on révise la question de la dette à la baisse avec possibilité d'y affecter une clause de croissance dans le remboursement et bien entendu négocier son effacement, du moins une partie de celle ci.

Il promettra des soins gratuits pour les pauvres et les chômeurs.

Rajustement ou augmentation de salaire. Accorder la gratuité de la consommation de l'électricité pour les pauvres, un programme sociale très ambitieux qui ne ressemble point du tout à ceux d'autres partis dans d'autres états européens qui prêchent d'Autres valeurs beaucoup plus austères au profit de la croissance économique.

Prudence donc au nouvel élu qui devra faire preuve de beaucoup de prudence et de tact face aux anciens membres qui redoutent ce nouveau venu à la main tendue comme pour demander l'aman et à une Angela Merkel qui a , bien avant la législative Grec voulu descendre dans l'arène Grec pour faire échouer les chances dune victoire d'un trouble fête, Syriza, ce parti extrême qui est en désaccord avec le refrain de l'euro, ayant pour maître mot: «Austérité".

Les discours assommants de ce nouveau venu au sein de l'euro se devrai de connaître un autre ton que celui de l'avant élection car toute l'Europe l'observe afin de détecter de tester voir d'estimer le nombre des démons qui sommeillent dans cette venue troublante.

Ce n'est que ce cette façon prudente que la Grèce se verra verser la dernière partie de prêts si seulement si les conditions et promesses de l'avant élections sont respectés et les efforts consentis poursuivis. C´est ici que les choses se compliquent car le nouvel élu aimerait justement desserrer la cravate forcée devenue étranglante, étouffante et le ventre creux des Grecs autour  des réformes. Bien entendu, la Grèce ne peut risquer les 240 milliards d'euros de prêts que les créanciers ont consentis depuis mais qui sont ocrtoyables sous conditions.

 

Kaisa Ilunga

 

TSIPRAS NE SAURA RIEN RÉALISER EN MENDIANT

 

Grande gueule et poche vide néanmoins une arme des plus minable, jeter l'éponge et claquer la lourde porte de l'Europe...et quoi d'autres, quel autre objet de chantage peut avoir ce jeune premier? Rien si ce n'est son verbe empoisonné à la Mélenchon comme le décrive ceux qui s'abreuvent à cette bouche intarissable d'un ministre Grec sans ou avec portefeuilles un coffré fort sonnant le creux!

il jubile ce jeune 1er ministre de 40 ans, Oui, il s'est hissé fort d'en bas et voilà qu'il devient une légende, un mythos Grec jamais réalise avant lui, il y a autanu´t de dizaine de centaine d'années peut etre, le pays du soleil brûlant, celui de ZEUS et du richissime Onassis et Nyarkos n'a connu un aussi  jeune et dynamique fonceur aux promesses qui risquent bientôt de ressembler aux mirages irréalisables. Mais alors pourquoi avoir promis trop de beurre que de pains? Les ménages attendent de voir des miracles qu'il ne saura jamais réalisé du fait que pour que lui, son cabinet et son état fonctionnent tant bien que mal, il lui faut rabattre le caquet comme disent les euro-austères habitués à étrangler à la gorge les mauvais élèves.

Questions: quel avenir pour lui et la Grèce?

Quels coups ou pièges lui préparent les fondateurs de l'Euro?

C´est en solitaire qu'il rentre par la porte à demi. Ouverte derrière laquelle personne ne l'attendait à bras ouverts, un indésirable, un trouble fête mais personne ne le lui a pas encore lancé. Parmi des admirateurs, malheureusement, des mendiants comme lui qui ne sauront jamais le dépanner pour donne assurance, gratuité électrique, argents de Noël aux Grecs. Trop de promesses qui vont peut être un jour le pousser à la démission à peine qu'il vient t de l'emporter et de prêter serment sans bible ni cravate et qui plus est, les poches vides si ce n'est trouées...allez-y comprendre quelque chose!

Promettre la lune afin d'éclairer les ménages sans électricité, en lieu et place du soleil et ce en comptant sur des crédit conditionnés par des petites promesses de remboursement et de venir régulièrement  quoi que mauvais élève, à l'école de l'euro etc...Marché de dupe ou rachat d'une dignité qu'il tient à tout prix à récupérer...

 

Futuroscope

Kaisa Ilunga

 

Grèce: Alexis Tsipras face au casse-tête de l’aide européenne
Alexis Tsipras saluent ses partisans après sa victoire aux élections législatives, le 25 janvier 2015 à AthènesAlexis Tsipras saluent ses partisans après sa victoire aux élections législatives, le 25 janvier 2015 à Athènes - Aris Messinis AFP

N.Beu.

  • un programme très social
  • Le nouveau Premier ministre aura toutefois besoin d'une aide financière extérieure
  • L'Europe et le FMI ont conditionné leur soutien à des réformes structurelles

Le petit parti qui montait a fini par atteindre le sommet. Dimanche, Syriza a remporté assez largement les législatives grecques, manquant de justesse la majorité absolue. Ces prochains jours, son leader Alexis Tsipras, nommé Premier ministre, devra donc composer son gouvernement en y intégrant des ministres des Grecs indépendants, le nouveau partenaire de Syriza. Mais à plus long terme, il devra surtout relever plusieurs défis économiques et résoudre certaines contradictions.

En Grèce, mais aussi hors des frontières du pays, Alexis Tsipras se sait attendu sur la question de la dette. Dès dimanche, le leader de la gauche radicale a donc annoncé qu'il souhaitait négocier avec ses partenaires extérieurs une solution «bénéficiant à tous», donnant ainsi le coup d’envoi d’un marathon qui devrait commencer tambour battant. «Cette négociation ne se fera évidemment pas en un jour, mais les prochaines semaines seront déjà cruciales», avertit Jésus Castillo, analyste chez Natixis, qui s’attend à un «jeu politique serré».

«Sa marge de manœuvre est extrêmement mince»

A la mi-mars, Athènes devra déjà faire face au remboursement d’environ 4,5 milliards d’euros dus au FMI, tandis que les échéances des obligations détenues par la BCE sont prévues pour juillet (3,5 milliards d’euros) et août (3,2 milliards). Entre-temps, Alexis Tsipras devra donc trouver des alliés dans la zone euro pour faire bouger les lignes et espérer voir le poids de la dette de l’Etat s’alléger.

Ces prochaines semaines, l’exécutif aura également pour tâche de trouver des liquidités permettant d’assurer le fonctionnement de l’Etat. «C’est le nerf de la guerre», selon Jésus Castillo, qui explique qu’il y a urgence. Le tout est «de savoir jusqu’à quand la Grèce peut tenir en termes de trésorerie», a averti Michel Sapin. «Est-ce que la Grèce est capable, fin mars, de payer ses fonctionnaires?» s’est-il interrogé. Si la réponse devait être négative, un refinancement s’imposerait logiquement. Or «la marge de manœuvre de Tsipras est extrêmement mince, analyse Thibault Mercier, économiste chez BNP Paribas. L’Etat étant incapable de se financer de matière autonome sur les marchés financiers, il a besoin d’une aide extérieure.» En plein de bras de fer avec l’Europe, Tsipras se retrouverait donc à tendre son autre bras en direction de ses partenaires…

Dès mi-février, «il devra trouver un compromis avec ses partenaires pour obtenir le versement de la dernière tranche d’aides prévue par le FESF (1,8 milliard d’euros) et le FMI (3,5 milliards)», indique Thibault Mercier. Or «rien n’est acquis, puisque le programme d’aides est conditionnel», ajoute-t-il; autrement dit, l’accord dépendra des mesures que s’engagera à prendre l’Etat grec.

Un plan de relance dispendieux

Optimiste, l’un des économistes du parti, Georges Stathakis, compte sur la lutte contre la fraude fiscale pour remplir la colonne des recettes. «C’est une piste intéressante, reconnaît Thibault Mercier. Avec la lutte contre la corruption et l’efficacité de la fonction publique, l’effort pour éliminer l’évasion fiscale fait justement partie de la zone de compromis possible avec les Européens.» Mais pour parvenir à relancer l’économie grecque, Syriza mise également sur la mise en œuvre de son programme d’aide aux plus pauvres, qui fait bien moins consensus chez les partisans de l'austérité. Selon le parti, la hausse du salaire minimum apporterait par exemple à elle seule 0,5 point de croissance, par le biais de la hausse de la consommation et des recettes fiscales.

Le pari est risqué, d’autant que le plan de relance de Syriza comprend de nombreuses mesures dispendieuses telles que la suppression de taxes jugées injustes, l’instauration d’un 13e mois pour les retraites de moins de 700 euros, ou encore l’électricité gratuite et des coupons alimentaires pour les plus démunis. Elu en grande partie sur ces promesses, Alexis Tsipras sait que le peuple grec ne comprendrait pas qu’elles ne soient pas tenues. Malheureusement pour lui, l’Europe n’accepterait pas le contraire non plus.

 

Ca y est le ton  change

"La Grèce doit respecter l'Europe", affirme le président de ...

Juncker: «la Grèce doit respecter l'Europe, pas question de supprimer sa dette»
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le 26 janvier 2015 à BruxellesLe président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le 26 janvier 2015 à Bruxelles - Emmanuel Dunand AFP

© 2015 AFP

«La Grèce doit respecter l'Europe», affirme le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, en soulignant qu'«il n'est pas question de supprimer la dette» d'Athènes même si «des arrangements sont possibles», dans une interview au quotidien français Le Figaro à paraïtre jeudi.

«Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l'Europe», déclare M. Juncker, après l'arrivée au pouvoir en Grèce de la gauche radicale de Syriza.

«Des arrangements sont possibles, mais ils n'altèreront pas fondamentalement ce qui est en place», estime-t-il, à la veille d'un déplacement du chef de file des ministres des Finances de la zone euro, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem vendredi à Athènes.

«Il n'est pas question de supprimer la dette grecque. Les autres pays de la zone euro ne l'accepteront pas», résume-t-il.

M. Juncker souligne s'être entretenu avec le nouveau Premier ministre Alexis Tsipras dès lundi, au lendemain de sa victoire aux élections législatives.

«Il m'a dit qu'il ne se voyait pas comme un danger, mais comme un défi pour l'Europe. Ce à quoi j'ai répondu que l'Europe n'est pas un danger pour la Grèce, mais un défi», raconte-t-il.

«Alexis Tsipras jure que la Grèce n'acceptera plus l'austérité. Les pays de l'euro répondent qu'il n'y aura plus de crédits si la Grèce s'affranchit de ses engagements», ajoute-t-il, plaidant pour «que la Grèce soit un acteur constructif» dans la zone euro et l'UE.

Ouvrant mercredi le premier conseil des ministres de son gouvernement «de salut national», Alexis Tsipras a d'emblée évoqué parmi ses «priorités» une renégociation de la dette du pays.

Il a assuré vouloir à la fois éviter «une rupture désastreuse réciproque» avec les partenaires de la Grèce et mettre fin à «la politique de soumission» du pays.

Le nouveau ministre des Finances, Yanis Varoufakis, a pour sa part réaffirmé que son pays allait «tourner la page de la politique d'austérité», mais «ne voulait pas de duels» entre la Grèce et l'Europe : au contraire, «une nouvelle relation de confiance et de sincérité».

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