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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
13 novembre 2012

Rwanda-RDC: 17 à 20 ans de pillage après, le Rwanda n´a pas encore engraissé

 RWANDA: Bientot étranglé

financièrement, continuera t-il à puiser dans son grenier congolais?

tous ces formateurs militaires qui ont fait sa renommée dans les  tueries à l´est, le quitte 17 ans après des massacres sur femme et enfants.Viols et violes étaient det demeurent des methodes de mort lente et douloureuse sur des femmes et enfants congolais. La vengeance de Kagame n´a pas de limite. comment expliqué cet Etat de choses d´oú lui vient ce gout du sang. Kagame ets-il descendant des buveurs de sang de boeu? sont -ce des Masais?Il a un dédain indescriptible des Hutus.Et pourtant, pourtant Hutu et Tutsis seraient des descendant d´une meme mère et d´un meme père. avec les années, meme sans connaitre l´histoire de leurs rois, toutes ces petites tribusaux frontière du géant RDC ont leur racines au coeur de l´Afrique d´oú partent toutes ces racines. Hier c´étai au tour des Tutsis de tuer des hutus aujourd´hui et ce depuis hier, depuis Hbiarimana, c´est autour des Hutus de pourchasser les hutus tout en égorgeant des congolais sur le parcours de tuer et d´égrger. mais ces gens sont des buveurs de sang!

qu´attendraient les congolais pour vérouiller leur frontières mais avant, se lever comme un seule homme, gourdins et pioches pour bouter dehors ceux qui violent leurs enfants. Marcher vers la frontière afin d´arreter l´hémoragie du sng qui coule à flot! Arréter viol s et voles du sous sole qui vont bientot redoublé du fait de coupe sombre des aides à la cooperation d´aller piller  violer et voler de l´autre coté en RDC...Jusque quand?

 

 

La Belgique tourne finalement le dos au Rwanda qui persiste dans son entêtement à déstabiliser la RDC
(Digitalcongo.net 12/11/2012) 


Bruxelles exaspérée par les autorités rwandaises qui refusent toujours de reconnaître leur soutien indéniable au M.23 qui déstabilise l’Est de la RDC vient finalement de retirer son aide de la coopération militaire avec Kigali

La Belgique a suspendu sa coopération militaire avec le Rwanda après sa mise en cause par l’ONU pour son soutien à une rébellion active dans l’Est de la RDC, a annoncé dimanche le chef de la diplomatie belge Didier Reynders, cité par l’AFP. « La Belgique suspend sa coopération militaire avec Kigali », a annoncé M. Reynders dans un message sur son compte Twitter. « On ne va pas former des militaires qui pourraient contribuer à la déstabilisation » de la République démocratique du Congo, a-t-il expliqué à l’agence Belga.

Le chef de la diplomatie belge a précisé que la prochaine réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE le 19 novembre examinerait la question de sanctions contre Kigali. L’union européenne a déjà suspendu fin septembre ses projets d’aide au gouvernement rwandais. Le gouvernement belge a multiplié les prises de position pour signifier sa défiance à l’égard de Kigali devant la multiplication des informations sur le soutien du Rwanda au Mouvement du 23 mars (M23).

La Belgique s’est ainsi abstenue lors de l’élection du Rwanda au Conseil de sécurité de l’ONU pour la période 2013-2014. « Nous nous sommes abstenus pour marquer le coup », avait expliqué Didier Reynders. « Voir un pays impliqué dans un dossier de ce point de vue siéger au Conseil de sécurité n’était évidemment pas notre priorité », avait-i1 précisé.

Le programme de partenariat militaire conclu en 2004 entre la Belgique et le Rwanda portait principalement sur la formation des militaires rwandais, la recherche et la Santé. Deux militaires belges ont ainsi été envoyés en mai dernier à l’hôpital militaire de Kigali pour une durée de deux mois afin d’y assister les spécialistes en médecine tropicale, a précisé l’agence de presse Belga. La suspension de ce lien avec Kigali fait suite à la mise en cause du Rwanda pour son soutien au Mouvement du 23 mars (M23), groupe composé d’ex-rebelles de RDC intégrés en 2009 à l’armée nationale et qui se sont mutinés depuis mai.

Selon des experts de l’ONU, le M23 est soutenu par le Rwanda et l’Ouganda voisins qui démentent ces accusations. Les dernières formations qui devaient encore être dispensées en Belgique en 2012 dans le domaine médical ont été supprimées et aucune nouvelle activité avec le Rwanda n’a été planifiée pour l’année 2013, a précisé Belga, citant le ministre de la Défense Peter De Crem. La Belgique a également des liens de coopération militaire avec la RDC et ses instructeurs ont formé deux bataillons de l’armée congolaise déployés dans la province du Nord-Kivu.

La RDC souhaite qu’un embargo sur les minerais soit décrété contre le Rwanda. Des groupes rebelles, des milices locales et des militaires soit régulièrement accusés d’exploiter les minerais dont regorgent les provinces des Nord et Sud-Kivu, et le Maniema- riches en cassitérite et en coltan (largement utilisés en électronique), ainsi qu’en gisements d’or.

La région du Kivu constitue le principal foyer de conflits du pays et de tensions dans la région des Grands Lacs africains. Frontalier de l’Ouganda, du Rwanda, du Burundi et de la Tanzanie, le Kivu s’est trouvé au cœur des tragédies de la région rivalités communautaires et politiques, conflits fonciers, exodes massifs des réfugiés Rwandais en 1994 - près d’un million-, présence de milices tribales, de miliciens rwandais hutu et de rebelles burundais et ougandais.

La société civile des provinces de l’Est de la RDC pousse l’Onu à sanctionner le Rwanda

A l’issue d’un atelier de deux jours organisé à Goma au Nord-Kivu sur la situation sécuritaire en République démocratique du Congo, les coordinations de la Société civile des provinces du Maniema, de la Province Orientale, du Katanga, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu ont exigé dimanche 11 novembre au comité des sanctions de l’ONU de punir le Rwanda, accusé d’agresser et d’occuper une portion du territoire congolais.

« Le comité des sanctions doit adopter des sanctions conséquentes à l’endroit des autorités Rwandaises impliquées dans l’agression de la RDC, obliger l’armée rwandaise de se retirer sans délais du sol congolais sans conditions et voter une résolution demandant la CPI à poursuivre les responsables des graves violations des droits de l’Homme et des crimes de guerre, a déclaré John Masimango de la Société civile du Maniema.

Il a ajouté que le comité des sanctions de l’ONU devra également élargir le mandat de la MONUSCO en faisant de sa mission celle d’imposition de la paix en vue de charger et d’éradiquer dans un bref délai le groupes armés opérant en RDC comme le Mouvement du 23 mars, (M23), les rebelles rwandais des FDLR, les ADF/NALU et autres milices locales assimilées aux forces négatives.

Parlant des rebelles du M23, John Masimango, propose qu’ils soient traduits à la Cour pénale internationale (CPI) et jugés pour « de graves violations de droits de l’homme et des crimes contre l’humanité ». Le comité des Sanctions du conseil de l’ONU devrait siéger lundi 12 novembre à New York, pour statuer sur différents rapports des ONG internationales et experts des Nations unies sur l’agression de la RDC dans sa panic Est, en vue d’adopter des sanctions en l’endroit des coupables.

Ces rapports accusent le Rwanda et l’Ouganda de soutenir le M23 - qui sévit dans l’Est de la RDC depuis le mois de mai- sur les plans politique, militaire et logistique. Dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, les représentants des Eglises catholique, musulmane, protestante et évangélique doutent de la crédibilité de ces documents. Ils remettent en question « l’intégrité de ces experts, la méthodologie employée, et les conclusions de ces rapports basées sur des preuves insuffisantes ».

Radio Okapi/Le Potentiel
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