VIDEOS – BARACK OBAMA. Allemagne: le président américain humilié porte Brandebourg à Berlin

 


Barack Obama et Angela Merkel, Porte Brandeburg

Barack Obama et Angela Merkel, Porte Brandebourg, Berlin le 19-06-2013

Que les années passent vite !

En 2008, celui qui allait devenir la plus grosse imposture et enflure du 21e siècle, surfait sur la vague de la nouveauté, tout le monde croyant qu’avec lui, le monde allait être plus sûr, dépourvu de guerre. Il était simplement candidat à la Maison blanche et avait fait déplacer…200 000 berlinois. Heureusement, les gens ne sont pas dupes, et ne se sont plus laissés embarquer par la propagande médiatique entourant le prix Nobel de la guerre. Au temps pour moi, de la paix…Il n’était que 4 500 personnes seulement.

Barricadé derrière des vitres blindées et transpirant à grosses gouttes -le comble pour un Nobel de la paix-, il a voulu jouer avec ses supporters illuminés en enlevant sa veste, tout en déclarant: «Nous pouvons être un peu plus informel entre amis". Mais, un peu surpris qu’il n’y ait que très peu de monde, il a voulu détendre l’atmosphère en promettant une énième fois qu’il fermera la prison illégale de Guantanomo Bay, tout en justifiant l’espionnage et les écoutes téléphoniques à grande échelle pratiqués par son gouvernement, jusqu’en Europe. Pour lui, ce dispositif a permis de sauver des vies. Sur le nucléaire, il a rassuré tout le monde, en disant que les Etats-Unis, en accord avec la Russie, allait baisser leur production d’un tiers.

Réflexion sur le nucléaire:

"Nous ne pouvons pas vivre dans la peur d’être anéanti par le nucléaire, mais aussi longtemps que les armes nucléaires existeront, nous ne sommes pas vraiment en sécurité"

Sur l’espionnage, le mensonge chevillé au corps:

"Nous savons qu’au moins 50 menaces ont été évitées en raison de ce programme, et pas seulement aux États-Unis, mais dans certains cas, des menaces ici même en Allemagne"

Auparavant, l’Antéchrist donnait une conférence de presse commune en compagnie de la chancelière Merkel.

Sur la Syrie, Barack Obama a ostensiblement refusé de révéler les détails que son gouvernement a récemment pris concernant les terroristes qui cherchent à renverser le président syrien Bachar al-Assad. Mais, on sait très bien que les responsables américains ont confirmé que l’administration a approuvé la livraison d’armes et de munitions à la soi-disant opposition.

"Je ne peux pas et ne ferai aucun commentaire sur les détails autour de nos programmes liés à l’opposition syrienne"

Un vrai clown au service du mal…