BRANLE-BAS DE COMBAT ENTRE MIGRANTS-COMMANDOS ET POLICES ALERTE ROUGE

À la frontière Hongroise et Serbe, tout a dégénéré dans un combat rangé anti émeutes entre soldats et migrants, assoiffés, affamés à l'issue des longues marches vers l'Europe. C'est une frontière qui baigne dans une fumée noire , des armes anti-émeutes sont utilisées contre femmes et enfants dans le but de décourager tout avancée. Tout est verrouillé, des murs de Berlin sont érigés à l'aide de fils barbelés et des murs en métal. C'est donc une atmosphère de guerre qui règne à la frontière, avec la présence d'autos-blindées non encore opérationnels si ce n'est des canons de jets d'eaux gazeuse, des hélicoptères sont aussi de la parti. Dans ce chaos indescriptible ou des projectiles volent dans tous les sens, l'on a pas encore réussis à compter les victimes des empoignades. À noter que le regain de popularité et de la chancelière allemande dans cette question des flux migratoires est en quelque sorte devenu le leitmotiv dont se sont désormais munis les migrants pour revendiquer le bien fondé de leur départ vers l'Europe. Seulement voila, les choses ont pris une tournure dramatique aux frontières avec la mise en place des commandos aux frontières et le durcissement des lois promulguées à la hâte pour définir toute tentative de traversée frontalière comme étant illégales. Soldats, commandos et policiers sont en alerte rouge pour freiner par tous les moyens ces flux. Enfin c'est à présent connu, les reporters sur place à la frontière ont réussis à détecter les tireurs des jets d'eaux et les forces de l'ordre qui ont réussis à provoquer ce chaos. Ce sont les forces hongroises qui sont donc responsable des méthodes dures. Grèce, Macédoine, Serbie, Hongrie, Suisse, c'est une longue route devenue très dangereuse pour femmes et enfants déterminés à arriver à bon port. Des commandos anti terreurs et toutes les forces armées se sont transformées en chiens de garde frontaliers. Dès à présent, il faut redouter un développement dramatique de la situation. Côté migrants, des armes de chantages sont les seuls arguments à même de convoquer une quelconque compassion qui risque de mettre un temps long. En fin de compte, des demandes d'asiles seront expéditives et connaîtront beaucoup de refus.