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"KAISAPOLYBLOG" " BLOGGLOBTROTTEUR "
30 mai 2015

CAPITAINE BLATTER TJRS À BORD DU BATEAU TANGUANT-EAUX TROUBLES

FIFA Le Capitaine reste au gouvernail

 

Les chiens ont beau aboyer, le capitaine ne ne se fera pas éjecté hors d'un navire devenu presque usa propriété privée. Blattrer ne cédera point le gouvernail, il ne démissionnera pas non plus et demeurera solidement vissé dans son fauteuil royal.

Quand bien même il y aurait des sérieuses menaces et risquent de coulée du bateau, il restera à bord car, si l'Amérique a perdu contre le Qatar le mondial de 2022, tout ne doit pas s'arreter!

Suivez à ce propos la réponse du capitaine :

« On ne remplace pas l’équipe à bord du bateau qui tangue laquelle lutte contre des eaux troubles, en pleine marrée montante » c’est en quelque sorte en ces termes que Joseph Blatter a expliqué son entêtement de ne point quitter le navire avant d’avoir réalisé la réunification de la famille sportive.

FIFA : Joseph Blatter réélu pour un cinquième mandat au gouvernail depuis 1998...

Autrement dit, les pieds devant car le vieux despote aura atteint 83 ans jusqu’à la fin de ce 5ème mandat, soudé, vissé, collé dans le fauteuil royale du sport mondial, depuis 1998 . Un Sport corrompu et politisé. Les chiens ont beau aboyer, le bateau tangue en eaux troubles avec à bord un capitaine vissé hermétiquement au gouvernail et refuse de jeter l'encre pour mettre  pied à terre. Il y a eu et il y aura toujours et encore beaucoup de grabuges   autour du sport dont le football et son président restent solidement  soudés. Ni l'Amérique qui aurait ordonné la série d'arrestations des membres dont l'actuel élu qui se remplace autrement dit qui vient d'etre réélu, ni les appels à la démission  du capitaine Blatter par son ancien supporter, Platini, ce bulldozer, critiqué pour toutes sortes de pratiques de mauvaise gestion, pas du tout catholique semble être couvert d'une carapace de crocodile qui le protège contre toutes sortes d'attaques. Joseph Blatter a à bord de son auto blindée écrasé tout le monde sur son passage. Réputé très large dans le "graissage de la patte", il est très généreux et est capable d'acheter tout et tous, il vient de le prouver contre vents et marées qu'il est le capitaine d'une équipe qui gagne non pas parce qu’elle est bien entrainée  mais plutôt parc qu’elle sait comment jongler pour arriver à ses fins.  Il a été reconduit et promet, d’entrée des jeux, d’unifier la famille sportive donc de redorer après  la même le blason terni du football alors qu’il trône en maitre absolu, capitaine incontournable sans avoir réussi son pari de toujours.  Que dire à présent que les cartons de vote ont été jeté dans l’urne ? Que le roi est élu, vive le roi  et en avant avec les anciennes pratiques mafieuses, les corruptions et préférences dans l’octroi des tenues de la coupe du monde sous condition du volume des billets verts ?

Que va-t-il se passer dans les prochains jours et mois, bien avant 2018 avant que la Russie n’allume le flambeau du mondial ?

Notre vision futuroscopique est que beaucoup de commentaires et d’encres vont animer le monde politico-sportif avec des nouvelles empoignades autour du Mondial 2018 version : »Sanctions Économiques qui sont pour et qui sont contre ?

Le sport est infecté depuis l’époque romaine ou les gladiateurs étaient jetés dans l’arène contre des lions enragés…tout est achetable et rien n’y résiste…bien entendu à l’argent c’est désormais dans des salons feutrés que des compétitions de football se disputent en pariant sur des prix exorbitants mais aussi en achetant des joueurs « putes » ou marionnettes.

Les deux états corrupteurs-élus du mondial sont dores et déjà connus, l’ancien et nouveau président de la FIFA s’y est rendu pour négocier le parapluie-politique de Vladimir Poutine qui n’hésitera point de demander à l’Amérique de ne pas s’immiscer dans les affaires sportives et de l’imiter son pouvoir judiciaire à l’intérieur de ses frontières que d’usurper des pouvoirs !

Vladimir Poutine dira que l’Amérique avait dans sa démarche une tentative inavouée de bloquer toutes les chances de réélection du candidat qui aurait permis, vrai ou faux dans les cas, son échec ou no élection aurait compromis la tenue du mondial en Russie !

Il aurait donc été plus facile pour Washington d’exercer son influence avec l’appui des états européens membres pour cette mission de sabotage du mondial 2018 avec comme argument : « la présence des soldats russe en  Ukraine. Enfin, le torchon continuera a brûler entre les deux états ennemis jurés.

Nous assisterons donc dans un proche avenir à une empoignade verbale entre d’une part Vladimir Poutine et la justice américaine jusqu’à ce que Barack Obama, qui se terre pour un temps s’en mêlera, car étant toujours derrière pour tirer des ficelles de chicaneries néanmoins, les prises de becs entre les deux ne s’éterniseront pas pour longtemps car l’Américain, aura consommé pleinement son double mandat pour céder place à , si les américains veulent jeter leur dévolu entre des mains aussi tremblantes que celles de Hillary Clinton bref, Obama partit en pensions, cheveux grisonnant, nous en auront encore pour au moins deux ans de bagarre médiatiques sur l’affaire du mondial 2018. Cela étant, beaucoup d’encre colorera des feuilles de commentaires avant l’application ou non des sanctions économiques cotre Moscou qui se battra pieds et ongles pour recouvrir les prétendus droits malgré l’invasion d’un pays souverain : « L’Ukraine ». Ce sont là donc des prémices qui sont en même temps des signes précurseurs de la couleur de la saveur que prendra la sauce sportive durant les deux ans en cours qui nous sépare de l’année fatidique du mondial de 2018 bien assaisonné aux ingrédient politiques dont le flambeau  risque d’enflammer les stades Russes et rendre les sol aussi brûlant qu’ils risquent de rester vides sans fanatiques du ballon rond…Que viva que vara !

 Kaisa Ilunga

Blatter réélu à la tête de la Fifa
Le président de la Fifa Joseph Blatter fête sa réélection pour un 5e mandat, le 29 mai 2015 à Zurich| AFP - Michael Buholzer

Le président de la Fifa Joseph Blatter fête sa réélection pour un 5e mandat, le 29 mai 2015 à Zurich| AFP – Michael Buholzer

Depuis 1998, l’élection présidentielle à la Fifa est souvent agitée, et le cru 2015 a fait très fort avec un scandale planétaire de corruption, mais, comme d’habitude, Joseph Blatter, l’a emporté, pour un mandat de quatre ans, à 79 printemps.

« Blatter, c’est Blatter! », a résumé Jérôme Valcke, secrétaire général de la Fifa, soit le N2 de l’instance.

1998 – Blatter N.1, aidé par Platini

Certaines archives télé font sourire aujourd’hui: Blatter, entré à la Fifa en 1975 et devenu secrétaire général (N.2) en 1981, vante sa jeunesse (62 ans à l’époque) face à son adversaire suédois Lennart Johansson, alors président de l’UEFA et âgé de 68 ans.

Le Suisse devient le 8e président de la Fifa lors d’un scrutin à Paris le 8 juin 1998. Il a été épaulé par un grand nom du foot, Michel Platini. Qui, cette semaine, a demandé à son ancien allié « Sepp » de démissionner…

Très ému au moment du sacre, Blatter, après avoir trébuché, enlace alors sa fille Corinne, sa principale collaboratrice pendant sa campagne. Blatter succède au Brésilien Joao Havelange (82 ans), qui ne se représentait pas, après 24 ans de présidence.

2002 – En plein « Blattergate »

Accusé d’indélicatesses financières et de comportement dictatorial, le « Blattergate », le président en exercice, 66 ans, se joue des critiques en se faisant triomphalement réélire le 29 mai à Séoul face à son concurrent, le Camerounais Issa Hayatou, 55 ans, président de la Confédération africaine (CAF).

Dès sa victoire proclamée, Blatter lance un vibrant appel à restaurer l’unité de la « famille du football » après une campagne électorale qu’un de ses partisans avait qualifié de « sale guerre ».

2007 – Seul au monde

Cette fois, le 31 mai 2007 à Zurich (la périodicité électorale a changé pour ne pas coïncider avec un Mondial), personne n’a osé contester son pouvoir. C’est par un véritable plébiscite, sans vote et par acclamation, que Blatter est reconduit à son poste. La page des tourments de 2002 semble alors tournée et Blatter, 71 ans, peut désormais s’atteler à ce qui sera le point culminant de son troisième mandat, le Mondial-2010 en Afrique du Sud, le premier sur le continent africain.

2011 – Tempête

La petite phrase est restée dans les mémoires. « La crise? Quelle crise? » lance par bravade Blatter devant la presse, deux jours avant l’élection du 1er juin 2011 à Zurich.

L’instance du football mondial est pourtant au coeur d’une tempête depuis une semaine, cernée par les accusations de corruption et minée par des enquêtes internes.

Les soupçons de pots de vin autour de l’attribution du Mondial-2022 au Qatar connaissent un pic. Et le président de la Confédération asiatique, Mohammed Bin Hammam, seul adversaire de Blatter, a été contraint de se retirer quelques jours avant l’élection, suspendu pour des achats de voix dans sa campagne. Le Qatari de 62 ans sera quelques temps après radié à vie du monde du foot.

La veille de l’élection, Blatter use d’une métaphore dont il ne se sépare plus, celle du « capitaine qui ne quitte pas le navire dans les eaux agitées ». Et, spectacle hallucinant, Grace Jones, en guêpière et masque de carnaval vénitien, ouvre ensuite la cérémonie d’ouverture nocturne du congrès en chantant « La vie en rose ».

Seul candidat, Blatter demande toutefois un vote un lendemain et récolte 186 voix sur 203 suffrages exprimés. A 75 ans il promet alors que c’est son dernier mandat…

2015 – Tsunami

Si la Fifa croyait avoir vécu le pire en 2011, elle se trompait. L’instance se retrouve en plein film policier quand sept responsables sont arrêtés au petit matin dans un hôtel luxueux de Zurich à deux jours du scrutin. L’action est orchestrée par la justice américaine, enquêtant sur des faits de corruption depuis 1990. Et les locaux de la Fifa sont même perquisitionnés le même jour dans le cadre d’une procédure pénale suisse distincte pour soupçon « de blanchiment d’argent et gestion déloyale » entourant les attributions des Coupes du monde 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar.

La déflagration a été planétaire. « Sepp », critiqué en Europe, mais populaire ailleurs dans le monde, a usé des éléments de langage habituels -« il faut que le bateau ne tangue plus et avance tranquillement »; « la Fifa a besoin d’un leader fort, expérimenté ». Le Prince Ali s’est retiré avant le second tour (73 voix contre 133 pour le Suisse au premier) et Blatter est donc président jusqu’à 2019. Il aura 83 ans quand il donnera « une Fifa plus forte » à son successeur, selon sa promesse.

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